« Je suis un fan de Dylan, mais ce choix empreint de nostalgie a été arraché de la prostate rance de hippies séniles et baragouinant » Irvine Welsh.
Yes, my guard stood hard when abstract threats
Too noble to neglect
Deceived me into thinking
I had something to protect
Good and bad, I define these terms
Quite clear, no doubt, somehow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now.
Ce n’est pas mal du tout. J’avais trouvé
cette chanson assez rythmée que je chantais dans des soirées de danse
dans les années 60.
C’est de la littérature à « pétards ».
Mais ce qui est agaçant c’est que le chef d’État, le Général des troupes
américaines, a reçu le pris Nobel de la Paix rien qu’en trempant son
pied dans la maison blanche. Lui, c’est un pacifiste à bombes… Il faut
dire que qu’Alfred Nobel fit fortune en créant, par hasard, « la
dynamite extra Nobel » avec laquelle il fit fortune. Fortune qui sert à
financer des gens qui rendent service à l’humanité…
Dylan, c’était l’époque de la guerre du
Vietnam et des activistes à guitares ou pacifistes à futurs étoilés.
Aujourd’hui, c’était beau ! L’ère du Verseau. Le partage, etc...Mais
c’est avant tout l’américanisation de l’humanité.
Le ramollissement des rockeurs, des
idéalistes fondus dans les normes de la réussite sociale. Les fossilisés
se sont oubliés. Dévertébralisés. Il en reste quelques uns. Bref, en
ce monde, tout est achetable. Mais - c’est à vomir - on devient le
produit.
On dirait que l’ego est une mangeuse à médailles, à tout prix…
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