La
gauche institutionnelle PS n’est qu’une droite décérébrée et
atlantiste, mais il n’en reste pas moins que, fondamentalement, et comme
tant d’autres, je reste « de gauche », c’est-à-dire pour la
construction inlassable de la solidarité contre la violence économique,
au sein du pays et à l’international.
Aussi, je ne peux que te dire merci, mon Fillon.
Chaque jour qui passe, tu donnes une chance de plus à la gauche, dans sa grande diversité. Avec tes argumentaires, qui ont la consistance et l’odeur de l’argent, tu détruis jour après jour la possibilité d’un plan B. Merci.
J’espère que tu vas tenir le coup, et je dois dire qu’hier c’était un grand bonheur de lire tes argumentaires sur le calcul des indemnités de licenciement. Un régal… Tous ceux qui sont passés par le carnage social et individuel
qu’est un licenciement auront pleinement apprécié. Merci, mon Fillon.
Et n'oublie surtout pas ta promesse de supprimer 500.000 emplois publics
- ce qui fera 500.000 chômeurs de plus - parce que ça coûte trop cher à
la collectivité. Vraiment, on t'adore.
Je
souhaite de tout cœur que, demain, tu trouves encore d’autres arguments
toujours plus provocateurs. Surtout fais bien attention de tenir le
plus longtemps possible pour que ton éventuel successeur n’ait aucune
chance de refaire une campagne crédible.
Au
nom de la gauche, cette universelle et fondamentale construction de la
solidarité, je ne sais comment te remercier. Tu nous redonnes espoir.
J'espère sincèrement que tu seras candidat le 23 avril 2017.
Accroche-toi, nous sommes nombreux à compter sur toi. Merci, cher Fillon.
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