lundi 19 novembre 2018

Panique à l’Elysée où Bri-bri engueule (encore !) Manu


Théophraste

Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, avait donné aux forces de répression la consigne prudente (valable pour la journée de samedi).

Après, retour à la routine si la conjoncture est favorable de ne pas éborgner, casser trop de dents et de nez, ouvrir des cuirs chevelus, jeter à terre et menotter dans le dos des vieilles de 70 ans, taper sur tout ce qui bouge, sodomiser à la matraque, prononcer les mots de «  crouille, bougnoul, racaille, Kirikou, Banania », embarquer au hasard et porter plainte pour outrage à agent, mentir sous serment, intégrer Benalla s’il se pointait.
Du coup, les keufs, désemparés, ont laissé des gilets jaunes chanter la Marseillaise à deux pas du Palais de l’Elysée. Du jamais vu ! Macron et sa prof de français étaient sous le lit d’où elle lui reprocha (en gueulant comme elle sait faire) qu’il n’aurait pas dû les provoquer avec son : « Qu’ils viennent me chercher ! ».

Quoi qu’on pense par ailleurs de cette journée, cet épisode fut plaisant. A renouveler et à améliorer en veillant à ne pas laisser les Ceausescu de l’Elysée filer vers Varennes ou Baden-Baden.

Théophraste R. (Gilet rouge).

Le Grand Soir

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