Thierry Deronne, Vicepresidencia de Formación Integral
VIVE TV, Canal del Poder Popular,
Biblioteca Nacional, Piso 4, Avenida Panteón , Caracas
República Bolivariana de Venezuela
Cel (0058-)(0)4164198614
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http://www.vive-fr.org/blog/
Échanges économiques, energétiques, financiers, sociaux, politiques, technologiques, et culturels marqués par la solidarité, la coopération et le respect sont les points fondamentaux de l´accord final. Evo Morales a rappelé que le tiers de l´ONU etait présent a ce sommet. Pour l’Afrique, 19 présidents, cinq vice-présidents et 15 ministres d’Affaires étrangers. Pour l’Amérique du Sud : 8 chefs d’État et un ministre des Affaires étrangères. Ont également participé de hauts fonctionnaires des organismes multilatéraux tels que le président de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Mohamed Ibn Chambas ; Jacques Diouf le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ; Ahmen Benhelli Secrétaire général adjoint de la Ligue des États arabes ; le président de la Commission de l’Union africaine, Jean Ping et le représentant du président de la Banque africaine de développement (BAD), Antoinette Batumubwira.
« Nous allons former deux grands pôles de pouvoir dans un monde pluripolaire qui a déjà commencé à naître. On cherche un monde où il n’y aura plus d’impérialisme, où les peuples seront libres, ou l’on s’unit pour sortir de la misère, du retard, du sous-développement auquel nous avons été soumis par l’empire du nord », a déclaré le président Chávez faisant référence à l’Europe et au Etats-Unis. « Ici, dans le Sud, la salvation du monde et de l’humanité a commencé ».
Pendant les deux jours de discussion, les chefs d’Etat ont présenté des propositions importantes qui montrent les nouveaux plans de relations internationales.
« La libération des peuples africains et sud-américains du nouveau monde est en train de se construire », a affirmé la présidente de l’Argentine, Christina Fernández lors de son discours.
Le président de la Bolivie, Evo Morales, a demandé aux leaders et aux peuples du Sud de récupérer les ressources naturelles et de prendre les mesures pour que le capitalisme ne détruise pas le monde. Il a aussi averti « qu’il est important qu’on se libère comme êtres humains, mais il est aussi important de libérer nos ressources naturelles pour résoudre les problèmes de notre pays ».
Le président de l’Équateur, Rafael Correa, a souligné que ces réunions entres les pauvres du monde nous assure une deuxième indépendance. Le président de l’Unasur s´est engagé à « renforcer le processus de coordination latino-américaine et construire le développement équitable de nos peuples, articuler la coopération internationale et la lutte contre l’inclusion social et, dans ce cas là, l’approfondissement des relations entre Amérique du Sud et Afrique ».

Le Venezuela signe un accord avec la FAO et plusieurs pays africains
La capacité pour la production des produits agricoles, la formation et la capacitation technique, et la création de zones d’irrigation font partie des sujets du document signé
Le président Hugo Chávez a affirmé qu’il a signé une série d’accords de coopération entre le Venezuela et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ce qui comprend les pays d’Afrique et l’Amérique du Sud.
« Le ministre pour les Industries basiques et l’industrie minière, Rodolfo Sanz, m’a informé sur la signature des accords de création de compagnies mixtes dans le secteur minier entre le Venezuela et la Sierra Leone, la Mauritanie, le Mali, la Namibie et le Niger. De plus, ils ont aussi signé un accord avec la FAO », a déclaré M. Chávez.
La capacité de production des produits agricoles, tel que des semences certifiées, des fertilisants, du système d’emmagasinage, entre autres. Des ateliers pour la fabrication d’outils agricoles ; l’installation et le développement des systèmes d’irrigation, la formation agricole et la capacitation technique.
Ces accords se développeront en Afrique et au Venezuela. On envisage la production de machinerie pour les projets et la sélection d’une zone destinée aux semailles dont l’extension se divisera d’après la nécessité réelle.
Solution du problème financier
Le président Chávez a évoqué l’approfondissement du fonctionnement économique des pays africains et sud-américains ; ce qui aiderait à trouver la racine de beaucoup de problèmes auxquels ces pays ont été soumis.
« Il y a quelques ans, Fidel Castro me demandait si je savais où se trouvaient les réserves finnancières du Venezuela. Et bien sur que je ne connaissais pas cette information. Les gouvernements précédents négociaient nos réserves avec les banques du nord en les changeant d’un endroit à un autre et gagnaient beaucoup grâce à notre argent », a déclaré M. Chavez.
La Banque du Sud a été créée
La Banque multinationale accordera des crédits aux pays membres de l’Unasur. Le siège principal sera à Caracas avec d’autres sièges à Buenos Aires et La Paz. Puis on créera les dépendances nécessaires
La Banque du Sud est née officiellement ce samedi avec la signature de la Convention Constitutive de la banque qui servira comme outils de développement des peuples du Sud.
L’accord a été signé par Cristina Fernández (Argentina), Evo Morales (Bolivia), Luiz Inácio Lula da Silva (Brésil), Rafael Correa (Equateur), Fernando Lugo (Paraguay), Tabaré Vázquez (Uruguay) et Hugo Chávez (Venezuela).
Cet accord envisage la construction d’une banque internationale publique avec personnalité juridique propre appelée Banque du Sud, afin de financer le développement économique, social, environnemental des pays d’Unasur, de manière équilibrée et stable au moyen de l’épargne dans et en dehors la région.
La Banque servira aussi pour renforcer l’intégration, réduire les asymétries et promouvoir la distribution équitable des investissements entre les pays membres, et dans une phase ultérieure avec l´Afrique.
Le capital total de la Banque du Sud est de 20 milliards de dollars et 10 milliards de dollars ont été autorisés. Les trois associés avec le plus de capacité économique (Argentine, Brésil et le Venezuela) font un apport de 2 milliards chaque un.
L’Equateur et l’Uruguay apporteront 400 millions chaque un, la Bolivie et le Paraguay 200 millions, Guyane et Suriname moins de 100 millions, la Colombie, le Chili et le Pérou apporteront entre 400 et 2 milliards de dollars.
Une des fonctions de la Banque est celle de financer les organismes de l’Etat, les institutions autonomes, les compagnies mixtes, les compagnies privées, les coopératives, les compagnies associatives et communautaires dans les pays membres afin de développer des projets.

TELESUR
Le président de la televisión multistatale Telesur Andres Izarra, a confirmé la signature de trois conventions souscrites avec les télévisions publiques du Mozambique, de l’Angola et de la Guinea Bissau, dont les informations seront transmises en langue portugaise. D’autre part a été annoncé le lancement de Radio Sud, autre pont avec l’Afrique et le projet de l’Université des peuples du Sud, entre autres projets de coopération éducative et culturelle entre les deux continents.
http://www..larevolucionvive.org.ve/spip.php?article302&=fr
II Cumbre Africa-América del Sur concluye con planteamientos históricos
Domingo 27 de septiembre de 2009
Intercambios económicos, financieros, sociales, políticos, tecnológicos y culturales marcados por la solidaridad, ayuda y el respeto fueron los pilares fundamentales puestos en el documento final. Como lo recordo Evo Morales, se reunio en esta cumbre el tercio de las Naciones Unidas. Por el continente africano la participaron 19 presidentes, cinco vicepresidentes africanos y 15 cancilleres; por Suramérica fueron ocho los jefes de Estado y un canciller que acudan a la cita biregional. Además, participron más de 13 funcionarios de alto nivel de países de los dos continentes como jefes de delegaciones. También participaron las máximas autoridades de organismos multilaterales, como el presidente de la Comunidad Económica de Estados de África Occidental (Ecowas, por sus siglas en inglés), Mohamed Ibn Chambas; el secretario general de la Organización de Naciones Unidad para la Agricultura y la Alimentación (Fao), Jacques Diouf; el secretario general adjunto de la Liga de Estados Árabes, Ahmed Benhelli; el presidente de la Comisión de la Unión Africana, Jean Ping y el representante del presidente del Banco de Desarrollo Africano, Antoinette Batumubwira.
“Vamos a conformar dos grandes polos de poder de este mundo pluripolar y multipolar que ya comenzó a nacer, buscando un mundo donde no habrá más imperialismo, donde los pueblos seremos libres, uniéndonos para salir de la miseria, del atraso, de la situación de subdesarrollo a la cual fuimos condenados por los imperios del norte”, expresó el presidente Chávez en referencia a Europa y Estados Unidos. “Por aquí, por el Sur, ha comenzado el camino hacia la salvación del mundo y de la humanidad”.
Durante los dos días de discusión, los jefes de Estado expusieron importantes planteamientos que dan cuenta de los nuevos esquemas de relaciones internacionales que están surgiendo.
"La liberación de los pueblos africano y suramericano depende de las capacidades, valores y la posibilidad de ser protagonistas del nuevo mundo que se está construyendo", afirmó Cristina Fernández, presidenta de Argentina en una de sus intervenciones.

Por su parte, el presidente de Bolivia, Evo Morales, exhortó a los líderes y pueblos del Sur a recuperar los recursos naturales y a tomar previsiones para que el capitalismo no acabe con el planeta. También advirtió que “no solamente es importante liberarnos como seres humanos, sino liberar nuestros recursos naturales para resolver los problemas de nuestros países”.
El acercamiento regional es uno de los grandes logros de este histórico encuentro que tuvo como sede al estado Nueva Esparta en Venezuela. Al respecto, el presidente ecuatoriano Rafael Correa señaló que “la presidencia de la Unasur tiene el compromiso de fortalecer el proceso de coordinación latinoamericana y construir el desarrollo equitativo de nuestros pueblos, articular la cooperación internacional y la lucha contra la exclusión social y, en este caso particular, implica la profundización de las relaciones entre América del Sur y África”.
Al abordar los temas de autoabastecimiento y alimentación, el presidente brasileño, Luiz Inácio Lula da Silva concluyó que África goza de tierras muy ricas para la agricultura y la producción de alimentos, lo cual podría ayudar a atacar el hambre de los pueblos más pobres del mundo.
Intercambiando opiniones sobre este importante tema, el director general de la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO, por sus siglas en inglés), Jacques Diouf, quien también participó en el segundo encuentro presidencial ASA, indicó que África y Suramérica son pueblos hermanos que deben luchar para mejorar las condiciones de vida en el mundo y luchar contra la pobreza.
Venezuela firma acuerdo con FAO y con varios países africanos Instalación de capacidad para la producción de insumos agropecuarios, capacitación técnica, instalación de zonas de riego, son temas que destacan entre los puntos firmados
El presidente Hugo Chávez comentó que se han firmado una serie de acuerdos de cooperación entre la República Bolivariana de Venezuela y la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO), los cuales abarcan países de África y Suramérica.
La firma se dio paralelamente a la Sesión Plenaria de Jefes de Estado y de Gobierno de la II Cumbre América del Sur-África, que se realiza desde mediados de semana en la isla de Margarita, Venezuela.
“El ministro Rodolfo Sanz —titular del Ministerio del Poder Popular para las de Industrias Básicas y Minería— me informa sobre la firma de acuerdos de creación de empresas mixtas de minería entre Venezuela y las naciones de Sierra Leona, Mauritania, Mali, Namibia y Níger, además de un acuerdo concretado con la FAO”, comentó el presidente bolivariano.
Entre los documentos firmados resaltan la instalación de capacidad para la producción de insumos agropecuarios, tales como semillas certificadas, fertilizantes, sistema de almacenamiento, entre otros. También sobresale la integración en pequeños talleres para la producción de implementos y herramientas de uso agrícola; la instalación y desarrollo de sistemas de riego; formación agrícola y agropecuaria y la preparación en capacitación técnica.
Todo ello se desarrollaría en tierras africanas, mientras que en Venezuela se tiene previsto la producción de maquinaria agrícola para proyectos conjuntos, el diseño y fabricación de maquinaria para los proyectos y también la selección de un áreadestinada a la siembra cuya extensión se dividirá de acuerdo a la necesidad real.

Solución del problema financiero
Por otra parte, el presidente Chávez ahondó en la profundización del funcionamiento económico que manejan las distintas naciones, tanto africanas como suramericanas, lo cual conllevaría a encontrar la raíz de muchos flagelos financieros al que están sometidos dichos países.
“Fidel Castro me preguntaba hace muchos años si sabía donde estaban las reservas de Venezuela. Y yo por supuesto que no conocía esa información. Resulta que antes, los gobiernos que me precedieron, negociaban nuestras reservas con bancos del norte, cambiándolas de un lado a otro y cobrando mucho por nuestro dinero (…). Esos son los mecanismos del capitalismo que todavía persisten en algunos países nuestros”, dijo
Conformado oficialmente el Banco del Sur
La entidad bancaria multinacional prestará asistencia crediticia a los países miembros de la Unasur. Su sede principal estará ubicada en Caracas, con dos subsedes en las ciudades de Buenos Aires y La Paz. En el futuro, se establecerán las dependencias que sean necesarias
Este sábado en la noche quedó oficialmente creado el Banco del Sur con la firma del Convenio Constitutivo de este ente financiero que servirá como herramienta de desarrollo de los pueblos del Sur.
El acuerdo quedó sellado con las firmas de los mandatarios Cristina Fernández (Argentina), Evo Morales (Bolivia), Luiz Inácio Lula da Silva (Brasil), Rafael Correa (Ecuador), Fernando Lugo (Paraguay), Tabaré Vázquez (Uruguay) y Hugo Chávez (Venezuela).
El convenio tiene por objeto constituir una entidad financiera de derecho internacional público con personalidad jurídica propia denominada Banco del Sur, para financiar el desarrollo económico, social y ambiental de los países miembros de Unasur, en forma equilibrada y estable, haciendo uso del ahorro intra y extrarregional.
Otro de los objetivos es fortalecer la integración; reducir las asimetrías y promover la equitativa distribución de las inversiones entre sus países miembros.
El Banco del Sur tiene un capital autorizado de 20 mil millones de dólares, de los cuales se suscribieron 10 mil millones de dólares. Los tres socios con mayor capacidad económica —Argentina, Brasil y Venezuela— aportan 2 mil millones cada uno.
Países como Ecuador y Uruguay aportarán 400 millones cada uno; Bolivia y Paraguay con 200 millones cada uno. Para Guyana y Suriname el aporte será una cifra inferior a los 100 millones de dólares. Mientras que Colombia, Chile y Perú participarán con montos entre los 400 millones y 2 mil millones.
La sede principal del Banco del Sur estará ubicada en Caracas, con dos subsedes en las ciudades de Buenos Aires y La Paz. También se estima establecer en el futuro las dependencias que fueran necesarias para el desarrollo de sus funciones.
El documento suscrito establece como funciones del Banco del Sur financiar en cualquier país miembro a órganos estatales, entidades autónomas, empresas mixtas, empresas privadas, cooperativas, empresas asociativas y comunitarias, que lleven a cabo proyectos de los tipos indicados.

Telesur
El titular de la televisora multiestatal, Telesur, Andrés Izarra, confirmó la firma de tres convenios suscritos con televisoras públicas de los países africanos, a saber: Mozambique, Angola y Guinea Bissau, cuyos noticieros serán transmitidos en idioma portugués. Por otra parte se anunciaron el lanzamiento de Radio Sur, otro puente con Africa y el proyecto de la Universidad de los pueblos del Sur, entre otros proyectos de cooperación educativa y cultural entre ambos continentes..
http://www.larevolucionvive.org.ve/spip.php?article303&lang=es
VIVE TV, Canal del Poder Popular,
Biblioteca Nacional, Piso 4, Avenida Panteón , Caracas
República Bolivariana de Venezuela
Cel (0058-)(0)4164198614
http://www.larevolucionvive.org.ve/
http://www.vive-fr.org/blog/

« Nous allons former deux grands pôles de pouvoir dans un monde pluripolaire qui a déjà commencé à naître. On cherche un monde où il n’y aura plus d’impérialisme, où les peuples seront libres, ou l’on s’unit pour sortir de la misère, du retard, du sous-développement auquel nous avons été soumis par l’empire du nord », a déclaré le président Chávez faisant référence à l’Europe et au Etats-Unis. « Ici, dans le Sud, la salvation du monde et de l’humanité a commencé ».
Pendant les deux jours de discussion, les chefs d’Etat ont présenté des propositions importantes qui montrent les nouveaux plans de relations internationales.
« La libération des peuples africains et sud-américains du nouveau monde est en train de se construire », a affirmé la présidente de l’Argentine, Christina Fernández lors de son discours.
Le président de la Bolivie, Evo Morales, a demandé aux leaders et aux peuples du Sud de récupérer les ressources naturelles et de prendre les mesures pour que le capitalisme ne détruise pas le monde. Il a aussi averti « qu’il est important qu’on se libère comme êtres humains, mais il est aussi important de libérer nos ressources naturelles pour résoudre les problèmes de notre pays ».
Le président de l’Équateur, Rafael Correa, a souligné que ces réunions entres les pauvres du monde nous assure une deuxième indépendance. Le président de l’Unasur s´est engagé à « renforcer le processus de coordination latino-américaine et construire le développement équitable de nos peuples, articuler la coopération internationale et la lutte contre l’inclusion social et, dans ce cas là, l’approfondissement des relations entre Amérique du Sud et Afrique ».

Le Venezuela signe un accord avec la FAO et plusieurs pays africains
La capacité pour la production des produits agricoles, la formation et la capacitation technique, et la création de zones d’irrigation font partie des sujets du document signé
Le président Hugo Chávez a affirmé qu’il a signé une série d’accords de coopération entre le Venezuela et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ce qui comprend les pays d’Afrique et l’Amérique du Sud.
« Le ministre pour les Industries basiques et l’industrie minière, Rodolfo Sanz, m’a informé sur la signature des accords de création de compagnies mixtes dans le secteur minier entre le Venezuela et la Sierra Leone, la Mauritanie, le Mali, la Namibie et le Niger. De plus, ils ont aussi signé un accord avec la FAO », a déclaré M. Chávez.
La capacité de production des produits agricoles, tel que des semences certifiées, des fertilisants, du système d’emmagasinage, entre autres. Des ateliers pour la fabrication d’outils agricoles ; l’installation et le développement des systèmes d’irrigation, la formation agricole et la capacitation technique.
Ces accords se développeront en Afrique et au Venezuela. On envisage la production de machinerie pour les projets et la sélection d’une zone destinée aux semailles dont l’extension se divisera d’après la nécessité réelle.
Solution du problème financier
Le président Chávez a évoqué l’approfondissement du fonctionnement économique des pays africains et sud-américains ; ce qui aiderait à trouver la racine de beaucoup de problèmes auxquels ces pays ont été soumis.
« Il y a quelques ans, Fidel Castro me demandait si je savais où se trouvaient les réserves finnancières du Venezuela. Et bien sur que je ne connaissais pas cette information. Les gouvernements précédents négociaient nos réserves avec les banques du nord en les changeant d’un endroit à un autre et gagnaient beaucoup grâce à notre argent », a déclaré M. Chavez.
La Banque du Sud a été créée
La Banque multinationale accordera des crédits aux pays membres de l’Unasur. Le siège principal sera à Caracas avec d’autres sièges à Buenos Aires et La Paz. Puis on créera les dépendances nécessaires
La Banque du Sud est née officiellement ce samedi avec la signature de la Convention Constitutive de la banque qui servira comme outils de développement des peuples du Sud.
L’accord a été signé par Cristina Fernández (Argentina), Evo Morales (Bolivia), Luiz Inácio Lula da Silva (Brésil), Rafael Correa (Equateur), Fernando Lugo (Paraguay), Tabaré Vázquez (Uruguay) et Hugo Chávez (Venezuela).
Cet accord envisage la construction d’une banque internationale publique avec personnalité juridique propre appelée Banque du Sud, afin de financer le développement économique, social, environnemental des pays d’Unasur, de manière équilibrée et stable au moyen de l’épargne dans et en dehors la région.
La Banque servira aussi pour renforcer l’intégration, réduire les asymétries et promouvoir la distribution équitable des investissements entre les pays membres, et dans une phase ultérieure avec l´Afrique.
Le capital total de la Banque du Sud est de 20 milliards de dollars et 10 milliards de dollars ont été autorisés. Les trois associés avec le plus de capacité économique (Argentine, Brésil et le Venezuela) font un apport de 2 milliards chaque un.
L’Equateur et l’Uruguay apporteront 400 millions chaque un, la Bolivie et le Paraguay 200 millions, Guyane et Suriname moins de 100 millions, la Colombie, le Chili et le Pérou apporteront entre 400 et 2 milliards de dollars.
Une des fonctions de la Banque est celle de financer les organismes de l’Etat, les institutions autonomes, les compagnies mixtes, les compagnies privées, les coopératives, les compagnies associatives et communautaires dans les pays membres afin de développer des projets.

TELESUR
Le président de la televisión multistatale Telesur Andres Izarra, a confirmé la signature de trois conventions souscrites avec les télévisions publiques du Mozambique, de l’Angola et de la Guinea Bissau, dont les informations seront transmises en langue portugaise. D’autre part a été annoncé le lancement de Radio Sud, autre pont avec l’Afrique et le projet de l’Université des peuples du Sud, entre autres projets de coopération éducative et culturelle entre les deux continents.
http://www..larevolucionvive.org.ve/spip.php?article302&=fr
* * *
II Cumbre Africa-América del Sur concluye con planteamientos históricos
Domingo 27 de septiembre de 2009
Intercambios económicos, financieros, sociales, políticos, tecnológicos y culturales marcados por la solidaridad, ayuda y el respeto fueron los pilares fundamentales puestos en el documento final. Como lo recordo Evo Morales, se reunio en esta cumbre el tercio de las Naciones Unidas. Por el continente africano la participaron 19 presidentes, cinco vicepresidentes africanos y 15 cancilleres; por Suramérica fueron ocho los jefes de Estado y un canciller que acudan a la cita biregional. Además, participron más de 13 funcionarios de alto nivel de países de los dos continentes como jefes de delegaciones. También participaron las máximas autoridades de organismos multilaterales, como el presidente de la Comunidad Económica de Estados de África Occidental (Ecowas, por sus siglas en inglés), Mohamed Ibn Chambas; el secretario general de la Organización de Naciones Unidad para la Agricultura y la Alimentación (Fao), Jacques Diouf; el secretario general adjunto de la Liga de Estados Árabes, Ahmed Benhelli; el presidente de la Comisión de la Unión Africana, Jean Ping y el representante del presidente del Banco de Desarrollo Africano, Antoinette Batumubwira.
“Vamos a conformar dos grandes polos de poder de este mundo pluripolar y multipolar que ya comenzó a nacer, buscando un mundo donde no habrá más imperialismo, donde los pueblos seremos libres, uniéndonos para salir de la miseria, del atraso, de la situación de subdesarrollo a la cual fuimos condenados por los imperios del norte”, expresó el presidente Chávez en referencia a Europa y Estados Unidos. “Por aquí, por el Sur, ha comenzado el camino hacia la salvación del mundo y de la humanidad”.
Durante los dos días de discusión, los jefes de Estado expusieron importantes planteamientos que dan cuenta de los nuevos esquemas de relaciones internacionales que están surgiendo.
"La liberación de los pueblos africano y suramericano depende de las capacidades, valores y la posibilidad de ser protagonistas del nuevo mundo que se está construyendo", afirmó Cristina Fernández, presidenta de Argentina en una de sus intervenciones.

Por su parte, el presidente de Bolivia, Evo Morales, exhortó a los líderes y pueblos del Sur a recuperar los recursos naturales y a tomar previsiones para que el capitalismo no acabe con el planeta. También advirtió que “no solamente es importante liberarnos como seres humanos, sino liberar nuestros recursos naturales para resolver los problemas de nuestros países”.
El acercamiento regional es uno de los grandes logros de este histórico encuentro que tuvo como sede al estado Nueva Esparta en Venezuela. Al respecto, el presidente ecuatoriano Rafael Correa señaló que “la presidencia de la Unasur tiene el compromiso de fortalecer el proceso de coordinación latinoamericana y construir el desarrollo equitativo de nuestros pueblos, articular la cooperación internacional y la lucha contra la exclusión social y, en este caso particular, implica la profundización de las relaciones entre América del Sur y África”.
Al abordar los temas de autoabastecimiento y alimentación, el presidente brasileño, Luiz Inácio Lula da Silva concluyó que África goza de tierras muy ricas para la agricultura y la producción de alimentos, lo cual podría ayudar a atacar el hambre de los pueblos más pobres del mundo.
Intercambiando opiniones sobre este importante tema, el director general de la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO, por sus siglas en inglés), Jacques Diouf, quien también participó en el segundo encuentro presidencial ASA, indicó que África y Suramérica son pueblos hermanos que deben luchar para mejorar las condiciones de vida en el mundo y luchar contra la pobreza.
Venezuela firma acuerdo con FAO y con varios países africanos Instalación de capacidad para la producción de insumos agropecuarios, capacitación técnica, instalación de zonas de riego, son temas que destacan entre los puntos firmados
El presidente Hugo Chávez comentó que se han firmado una serie de acuerdos de cooperación entre la República Bolivariana de Venezuela y la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO), los cuales abarcan países de África y Suramérica.
La firma se dio paralelamente a la Sesión Plenaria de Jefes de Estado y de Gobierno de la II Cumbre América del Sur-África, que se realiza desde mediados de semana en la isla de Margarita, Venezuela.
“El ministro Rodolfo Sanz —titular del Ministerio del Poder Popular para las de Industrias Básicas y Minería— me informa sobre la firma de acuerdos de creación de empresas mixtas de minería entre Venezuela y las naciones de Sierra Leona, Mauritania, Mali, Namibia y Níger, además de un acuerdo concretado con la FAO”, comentó el presidente bolivariano.
Entre los documentos firmados resaltan la instalación de capacidad para la producción de insumos agropecuarios, tales como semillas certificadas, fertilizantes, sistema de almacenamiento, entre otros. También sobresale la integración en pequeños talleres para la producción de implementos y herramientas de uso agrícola; la instalación y desarrollo de sistemas de riego; formación agrícola y agropecuaria y la preparación en capacitación técnica.
Todo ello se desarrollaría en tierras africanas, mientras que en Venezuela se tiene previsto la producción de maquinaria agrícola para proyectos conjuntos, el diseño y fabricación de maquinaria para los proyectos y también la selección de un áreadestinada a la siembra cuya extensión se dividirá de acuerdo a la necesidad real.

Solución del problema financiero
Por otra parte, el presidente Chávez ahondó en la profundización del funcionamiento económico que manejan las distintas naciones, tanto africanas como suramericanas, lo cual conllevaría a encontrar la raíz de muchos flagelos financieros al que están sometidos dichos países.
“Fidel Castro me preguntaba hace muchos años si sabía donde estaban las reservas de Venezuela. Y yo por supuesto que no conocía esa información. Resulta que antes, los gobiernos que me precedieron, negociaban nuestras reservas con bancos del norte, cambiándolas de un lado a otro y cobrando mucho por nuestro dinero (…). Esos son los mecanismos del capitalismo que todavía persisten en algunos países nuestros”, dijo
Conformado oficialmente el Banco del Sur
La entidad bancaria multinacional prestará asistencia crediticia a los países miembros de la Unasur. Su sede principal estará ubicada en Caracas, con dos subsedes en las ciudades de Buenos Aires y La Paz. En el futuro, se establecerán las dependencias que sean necesarias
Este sábado en la noche quedó oficialmente creado el Banco del Sur con la firma del Convenio Constitutivo de este ente financiero que servirá como herramienta de desarrollo de los pueblos del Sur.
El acuerdo quedó sellado con las firmas de los mandatarios Cristina Fernández (Argentina), Evo Morales (Bolivia), Luiz Inácio Lula da Silva (Brasil), Rafael Correa (Ecuador), Fernando Lugo (Paraguay), Tabaré Vázquez (Uruguay) y Hugo Chávez (Venezuela).
El convenio tiene por objeto constituir una entidad financiera de derecho internacional público con personalidad jurídica propia denominada Banco del Sur, para financiar el desarrollo económico, social y ambiental de los países miembros de Unasur, en forma equilibrada y estable, haciendo uso del ahorro intra y extrarregional.
Otro de los objetivos es fortalecer la integración; reducir las asimetrías y promover la equitativa distribución de las inversiones entre sus países miembros.
El Banco del Sur tiene un capital autorizado de 20 mil millones de dólares, de los cuales se suscribieron 10 mil millones de dólares. Los tres socios con mayor capacidad económica —Argentina, Brasil y Venezuela— aportan 2 mil millones cada uno.
Países como Ecuador y Uruguay aportarán 400 millones cada uno; Bolivia y Paraguay con 200 millones cada uno. Para Guyana y Suriname el aporte será una cifra inferior a los 100 millones de dólares. Mientras que Colombia, Chile y Perú participarán con montos entre los 400 millones y 2 mil millones.
La sede principal del Banco del Sur estará ubicada en Caracas, con dos subsedes en las ciudades de Buenos Aires y La Paz. También se estima establecer en el futuro las dependencias que fueran necesarias para el desarrollo de sus funciones.
El documento suscrito establece como funciones del Banco del Sur financiar en cualquier país miembro a órganos estatales, entidades autónomas, empresas mixtas, empresas privadas, cooperativas, empresas asociativas y comunitarias, que lleven a cabo proyectos de los tipos indicados.

Telesur
El titular de la televisora multiestatal, Telesur, Andrés Izarra, confirmó la firma de tres convenios suscritos con televisoras públicas de los países africanos, a saber: Mozambique, Angola y Guinea Bissau, cuyos noticieros serán transmitidos en idioma portugués. Por otra parte se anunciaron el lanzamiento de Radio Sur, otro puente con Africa y el proyecto de la Universidad de los pueblos del Sur, entre otros proyectos de cooperación educativa y cultural entre ambos continentes..
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