lundi 7 décembre 2009

UN FILM TABOU SUR LA VACCINATION

reçu de Gérard Samet

"La Métropole" est un journal de Montréal et Gérard Samet y est journaliste.

« Nous sommes ici pour informer, pas pour faire peur. Pour aider à faire un choix éclairé pour soi-même, pour ou contre la vaccination ». Stéphane Maestro, éditeur de la Métropole, donne le ton. La Métropole a organisé hier un débat d’actualité sur les enjeux de la vaccination contre la grippe A(H1N1), à l’occasion de la projection privée du film présenté par la cinéaste Lina B. Moreco, grâce à l’hospitalité de Vincent Guzzo, vice-président des cinémas Guzzo. Un débat animé par Martin Saint-Pierre, vice-président et directeur général de Convergence Directe, une agence de communication. Invités à débattre : la cinéaste Lina B. Moreco, le docteur Marc Zaffran, chercheur, et le docteur Carl Benoit, dentiste holiste.

Gérard Samet | gsamet@lametropole.com


Un vaccin est-il efficace, sans danger ? Pas seulement celui contre la grippe A(H1N1), mais tous les vaccins. La cinéaste Lina B. Moreco s’interroge, dans son film d’enquête « Silence, on vaccine ». Avec des cas concrets, troublants. Elle avait promis ce film à un couple d’amis dont la fille de huit ans est revenue à l’état végétatif après une simple vaccination. En réalisant son film, Moreco s’est heurtée à un tabou. On ne remet pas en question le dogme de la vaccination ! Les cas d’autisme et de déliquescence montrés dans le film sont pourtant des coïncidences troublantes, toujours intervenues après vaccinations.

Si le lien de causalité n’est pas prouvé hors de tout doute, des médecins et des chercheurs démontrent que certains symptômes apparaissent après de grandes campagnes de vaccination. Certains effets secondaires potentiellement dangereux sont incontestablement liés aux vaccins. Les adjuvants, qui servent de conservateurs ou de stimulants immunitaires, sont en cause. Un véritable cocktail neurotoxique. L’industrie pharmaceutique refuse pourtant tout suivi des patients et toute recherche sérieuse sur le sujet. Le film est dérangeant, remet en cause nos certitudes. Il n’a pu curieusement être diffusé dans les salles de cinéma ou à la télévision après avoir été financé par l’Office National du Film. « Lorsqu’un fabricant d’ordinateurs ou de voitures sait que son produit est potentiellement dangereux, il le rappelle. Pourquoi n’est-ce pas le cas des vaccins, lorsqu’il y a de sérieuses questions de sécurité qui se posent ? Pas pour l’industrie pharmaceutique. Il faut changer ce mépris », estime le Dr Marc Zaffran.

Depuis quelques années, le nombre de vaccinations recommandées augmente. En particulier pour les jeunes enfants. On ne sait pas toujours qu’il peut y avoir danger. Dans le film, les parents des enfants victimes de graves symptômes en sont persuadés. La cause serait liée à l’utilisation du Thimérosal, un composé de mercure ou d’une forme d’aluminium, dans la composition de ces produits. Des médecins, des chercheurs témoignent et appuient cette thèse. Même l’agence de la santé publique du Canada « encourage les fabricants de vaccins à consacrer des ressources importantes à la recherche portant sur des produits de remplacement pour le Thimérosal ». Les adjuvants ont été également mis en cause en 1976, dans une précédente campagne de vaccination intense aux États-Unis.

Parmi les composants du vaccin actuel figure ainsi le Squalène, un adjuvant antioxydant qui pourrait avoir des conséquences négatives sur les capacités auto-immunitaires du système nerveux. Ou le Polysorbate 80, un composant suspecté de causer l’infertilité. Pourtant, le suivi post-vaccination ne semble pas être organisé. Il n’y a pratiquement pas d’élément scientifique pour prouver la sécurité des injections de vaccin sur la santé à long terme. Injecter des toxiques dans le corps est-il un acte sans conséquences ? « Nous sommes des apprentis sorciers, puisque nul n’en connaît les conséquences ou ne veut pas les connaître », disent les conférenciers. « L’industrie pharmaceutique ne fait rien pour savoir. Pas de suivi des patients, pas de tests officiels. Le silence et le mépris. On ne peut remettre en question les bienfaits des vaccins ».

Pourtant, la question est posée. Il n’existe pas de statistiques fiables sur leurs bienfaits et se faire vacciner donne un sentiment de fausse sécurité et nous rend dépendant de l’industrie pharmaceutique en ne développant pas nos propres anticorps. Pour Marc Zaffran, il faut se calmer : « il y a 2 millions de décès à cause du paludisme ou de la diarrhée. Ce n’est pas le cas de la grippe A(H1N1). Il suffit de regarder ce qui s’est passé dans l’hémisphère sud pendant l’hiver austral. Cette grippe a fait moins de morts en Australie et en Nouvelle Zélande que la grippe classique. Au Brésil, il n’y a pas eu 200 000 morts dans les favélas. Si les gens étaient morts comme des mouches, toutes les télés du monde auraient survolé la zone en hélicoptère ».

Pour lui, lors de la vaccination, « les médecins doivent obtenir un consentement éclairé. Les gouvernements des pays développés ne respectent pas cela. Le discours de peur est contraire à l’éthique. Et puis, il est difficile de montrer que le vaccin est efficace. Il est de surcroit doté d’effets secondaires qui peuvent être graves. On ne s’est pas donné les moyens de savoir, mais on continue à vacciner. Alors que l’on ne sait pas si cela sert à quelque chose, comme l’écrit une enquête documentée publiée en novembre dans la revue américaine The Atlantic, « Does the Vaccine Matter? » Les effets du vaccin doivent être supérieurs aux inconvénients. On a arrêté le vaccin sur la variole dans les années 70, parce qu’il y avait plus d’accidents que de cas de variole. C’était une décision de bon sens. On devrait avoir les mêmes critères aujourd’hui ».

Selon le docteur Carl Benoît, « un simple calcul risques/bénéfices démontrerait un risque plus important d’avoir des problèmes avec la vaccination qu’avec la pandémie ». Pour lui, nul ne sait les conséquences à long terme du vaccin, s’il n’a pas d’effet immédiat. « Pourquoi prendre des risques, si le vaccin n’a pas démontré son efficacité ? Il n’y aucune certitude quant à son efficacité, puisque les tests n’ont pas pu avoir lieu. Le risque est démesuré par rapport à la toxicité potentielle du vaccin ». Lina B. Moreco s’interroge : « Existe-t-il un lien entre la vaccination et l’état de santé de certains ? Le malade est-il prévenu des effets secondaires possibles ? Il existe des réactions prouvées au vaccin. Il y a eu des décès deux jours après un vaccin. On nie totalement les effets secondaires. Il faut que l’on ait des protocoles de soins. On ne sait pas quoi faire en urgence, en cas de symptômes post-vaccin. C’est cette dimension qui me fait peur. On nie les conséquences possibles du vaccin ».

La salle et les conférenciers ont déploré plusieurs fois que l’on essaie de donner mauvaise conscience aux gens en leur disant de se faire vacciner pour eux-mêmes, mais aussi dans l’intérêt de la société. Le discours officiel est fondé sur la peur et non sur la raison. Le nombre de vaccins inoculés a plus que doublé depuis un quart de siècle, sans la moindre transparence sur les effets indésirables des vaccins. Or, les effets négatifs sont plus importants que l’on croit, alors que les effets positifs ne reposent pas sur des statistiques incontestables, alors que le caractère inoffensif du vaccin pour toutes les personnes qui le reçoivent n’est pas mesuré. Combien de personnes devront être sacrifiées au nom du bien commun ?

Visionner en exclusivité la version intégrale du film Silence, on vaccine
de Lina B. Moreco (Durée : 88 minutes)





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