Les nouveautés de la semaine
Pour rappel, la nouvelle adresse de Couleurs Poésies 2 est la suivante :
Lundi 4 juillet
« L’orchidée et la rose », de Jean Dornac
Mes rêves sont doux
Mes jours sont cauchemars
Je vis et aime à l’envers
Rêves éphémères
D’un bonheur
Qui n’existera plus
L’orchidée noire
A chassé la rose rouge
Mes jours sont cauchemars
Je vis et aime à l’envers
Rêves éphémères
D’un bonheur
Qui n’existera plus
L’orchidée noire
A chassé la rose rouge
Mardi 5 juillet
« Une femme… », de Ode
Une femme, comme fleur
Comme papillon coloré
Il faut ravir avec délicatesse
Ou laisser s'envoler
Comme papillon coloré
Il faut ravir avec délicatesse
Ou laisser s'envoler
Mercredi 6 juillet
« Ce sont des destinées flamboyantes », de Michel Bénard
Ce sont des destinées flamboyantes
Qui progressent lentement
Sous des masques de pudeur,
Scellés aux sceaux du secret.
Qui progressent lentement
Sous des masques de pudeur,
Scellés aux sceaux du secret.
Jeudi 7 juillet
« Parfois », de Djalila Dechache
Parfois il ne faut rien dire
devant la nuit qui se répand.
Nappe du silence pour nous étourdir
Replis soyeux des mots à venir.
devant la nuit qui se répand.
Nappe du silence pour nous étourdir
Replis soyeux des mots à venir.
Vendredi 8 juillet
« Soldes’Song », de Thierry Deschamps
Voici venir le temps,
Des soldes de printemps.
Casse ta tirelire,
C'est un moment de délire !
Va vite faire des affaires,
Les soldes, c'est super !
Tout pour dépenser
Joyeusement sans compter…
Des soldes de printemps.
Casse ta tirelire,
C'est un moment de délire !
Va vite faire des affaires,
Les soldes, c'est super !
Tout pour dépenser
Joyeusement sans compter…
Samedi 9 juillet
« Mon poète », de Denise Bernhardt
Ton âme est une aube dormante
Où glissent des baisers
Et des caresses roses,
Quand saupoudré d’or
Tu butines les calices
Qui s’ouvrent devant toi.
Où glissent des baisers
Et des caresses roses,
Quand saupoudré d’or
Tu butines les calices
Qui s’ouvrent devant toi.
Dimanche 10 juillet
« Prendre son corps », de Victor Varjac
Prendre son corps
à pleines mains
et concevoir la vie
comme une flamme
sans jamais se soucier
de l’huile qui s’épuise…
à pleines mains
et concevoir la vie
comme une flamme
sans jamais se soucier
de l’huile qui s’épuise…
Bonnes lectures
Jean Dornac

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