samedi 26 mai 2012

Pas d'oubli, Président


Avec tout le respect, mes doléances !

Voilà, en France, en 2012, nous venons d'assister à une bataille entre forces du progrès humain et celles du conservatisme réactionnaire. La victoire électorale a récompensé un camp, ce ne fut certes pas un triomphe (le corps social est tellement malade) mais cela pèsera sans doute fort sur mon destin personnel... Cependant l'affrontement n'est pas fini, ce n'est pas le moment de s'endormir, même si nous sommes nombreux à reprendre souffle.
Osons l'écrire : tous ces gens qui veulent ramener le pays en arrière, dans un système pourri, sont moralement condamnables !
Au plan de l’évolution personnelle et sociale, incluant l'utilisation des nouvelles technologies, il y a des gens qui refusent d’avancer, mieux, qui essayent de ramener les autres en arrière pour rester au même niveau… Ce n’est pas avec des méthodes autoritaires, propres à l’extrême droite, quelle que soit la variante (et tournante !) économique : comme celle de Le Pen ou celle de Sarközy de Nagy-Bocsa en France, que l’on fera avancer ces gens qui, en fait, ont le tort profond de ne pas se respecter eux-même en voulant faire porter le chapeau aux autres… Leurs frustrations et leurs peurs les rendent mauvais d’abord à eux-même ! Ensuite, cherchant à faire exécuter le sale boulot par les agents de l’ordre dominant, quitte à se décharger de leurs responsabilités (citoyennes y compris parentales), ils s’enfoncent dans l’impossibilité de gouverner leurs vies… C’est pour cela d’ailleurs qu’ils ont tant besoin d’autorité !
De quel esprit de responsabilité parlait-il au fait, ce sieur Sarközy de Nagy-Bocsa ?
Avec son sectarisme au service de la ploutocratie, il a ruiné la cohésion sociale et le prestige de la France.
Pour moi, cet individu est un malfaisant voire un malfaiteur sinon un escroc de la démocratie (laissons faire à la Justice, son travail). Lui et son équipe avaient entrepris une guerre sociale et il y a eu des morts : beaucoup!
L'ex-président de 2007 à 2012 a sabordé la Droite, je ne vais pas m’en plaindre, même si là-dedans, certains que je respecte, ne se retrouvaient certainement pas dans ses errements idéologiques et ont osé l'affirmer... Ce repoussant personnage avait décidé de mettre en esclavage ses propres concitoyens, les pauvres d'abord car c'était plus facile à faire (à mettre en cage), et par extension, à moyen terme, l’ensemble de la communauté nationale y serait passé ; tout cela pour le compte de la Finance : un système lié au veau d’or qu’il adore !
Le pouvoir qu'il orientait a fait exécuter de sales besognes à nombre de gens, ces dernières années, et peu ont osé résister Il est vrai qu’à la base et aux courroies de transmission, il fallait préserver la situation qu’on avait tant qu’on pouvait… et puis défendre, garder, tenir ses biens, protéger sa famille, etc.
De nombreux citoyens ont été tenus à l’écart, exclus et/ou marginalisés, car ils dérangeaient les intérêts dominants. Des esprits indépendants furent déclarés « incontrôlables », mis au placard et/ou surveillés étroitement selon cet angle de vue. La population entière a été fichée abusivement.Nota : en ce qui concerne la DCRI : les services secrets, français, rebaptisés, fondus et assaisonnés à la cuisine Sarkozy, je crois qu’ils ont mis beaucoup de moyens pour surveiller les citoyens ordinaires qui manquent à la surveillance des individus potentiellement dangereux… ou alors je me trompe, victime de mon parti pris… Possible, mais non garanti !
Des êtres humains qui n'avaient souvent que le tort de fuir le danger ou la misère, furent traqués comme des bêtes nuisibles pour détourner l'attention des vrais préjudices occasionnés au peuple de France.

Nota : en ce qui concerne des assassinats en série :
On l’a beaucoup vu et entendu mais toujours attendu « l’homme au Kärcher » ! … Car, hormis d’accabler des citoyens ordinaires, gens paisibles pour la plupart, et de persécuter les étrangers, les pauvres et autres boucs émissaires, il n’a pas révélé grand « talent » et il est apparu plutôt inefficace voire ridicule. Dès son arrivée au pouvoir en France, en 2007, ce fut un long western, étendu pour ne pas dire prévu, mais qu’est ce que "l'ordre" était rassurant ! ... Les règlements à coup de flingue se sont multipliés, les appartements des opposants politiques furent régulièrement cambriolés, certains reçurent des menaces de mort, les libertés furent de plus en plus bridées, les contraintes pour le citoyen lambda s’additionnèrent...etc. Non seulement l'autoritaire à l'Elysée était un incapable, mais il commandait une politique qui générait et semait la violence.
Sur un théâtre plus large, en Europe, la dictature financière qu’il servait étrangla par la dette les peuples et voudrait même encore supprimer des libertés pour la "liberté d'exploiter du grand Capital" : un exemple scandaleux entre autres, ce projet d'interdire le cash pour "contrer" la fraude… Bin ! voyons : tout sous contrôle, même le porte-monnaie des citoyens, en particulier celui des pauvres. C’est le rêve des banquiers !
Il y a plein de gadgets inutiles aujourd’hui, c’est fait pour vendre et acheter, même le plus noble de la condition humaine.
Il faut casser ce mécanisme de la domination néolibérale qui privilégie une vision marchande de l'humanité, et il passe par la mise au pas de la Finance : urgente nécessité. Ce n’est pas avec Sarközy de Nagy-Bocsa que nous aurions eu concrètement cela, c’est un défenseur de la Finance et même un de leurs avocats !
Et encore, la tactique des néolibéraux, c'est de nous noyer sous un déluge de nouvelles insipides pour saturer notre attention et masquer ainsi l'essentiel de leurs "réformes" qui visent tout simplement à restaurer le féodalisme au profit de la ploutocratie.
Cette dite économie de marché, régie par la Finance, est aussi une atteinte à la démocratie. Pour résumer et si peu versé dans l'humour, le syndrome néolibéral est de créer des pauvres pour en faire des soumis !
Et nous en sommes arrivés ainsi à "l'argument suprême" : la crainte des marchés ou la prise en otage des états par cette même finance qui agit comme une maffia avec ses casinos et ses rackets. Ses obligés brandissent cette menace comme "l’excommunication", pauvres créatures, politicards parasités par la finance, ils sont devenues de vraies pintades !
Enfin, pour conclure, les néolibéraux et leurs complices savent très bien miner le terrain social, en éliminant les plus réfractaires à leur idéologie destructive, pour mieux enfoncer les autres "pions"...
C’est donc pour cela, comme des tas d’autres d’ailleurs, qu’ils avaient entrepris de m’éradiquer, moi, simple créateur culturel, en portant directement atteinte à mes droits fondamentaux, après m’avoir longtemps enkysté dans la misère avec leur système d’exclusion, bâti sur les inégalités. Seulement, voilà ! ils se sont trompés. D’une manière générale, ils croient connaître les Hommes, mais ils ne savent qu'apprécier le bétail, à l'aune de son poids de viande, et encore…c’est à vérifier ! Dans mon cas, je ne suis pas attaché à la terre natale comme la plupart des êtres humains, et ils auront du mal à couper le cordon ombilical, ces cyons !
Mais pas d'oubli, président, jamais, pas question d'effacer l'ardoise et de redémarrer à zéro comme si rien ne s'était passé ces dernières années... Ils ont voulu me mettre à la rue ou me faire ramper pour la pitance... Je ne suis pas un saint pour pardonner ni même un juste, simplement un homme, avec ses qualités et ses défauts, et heureusement avec une Mer-e qui m'a fait devenir ce que je suis.
Bonne chance et succès, président de tous les Français maintenant (institutionnellement), vous avez du boulot sur la planche, mais vous venez d'être "baptisé" par les Forces de la Mère Nature : par l'eau et le feu : la foudre précisément, c'est de bonne augure, diront sans doute les superstitieux !

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