Pendant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis qu’il n’y
aurait pas d’expulsions de Roms sans solutions alternatives.
Aujourd’hui, son ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, ferme les camps de
Roms, les expulse dans des conditions qui suscitent l’indignation de
Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des Territoires et du
Logement et de Martine Aubry, secrétaire du PS et maire de
Lille
L’association « La Voix des Roms » estime que « Manuel Valls
pourrait porter les couleurs de l’UMP » en 2017.
Viviane Reding, commissaire européenne à la Justice, a
déclaré « placer sous surveillance la France sur la question des Roms ».
Autre empêcheuse de réprimer en rond : la garde des sceaux,
Christiane Taubira, qui veut en finir avec le tout « CEF »
(centres éducatifs fermés).
En 2007, Manuel Valls avait décliné la proposition de son ami (ils se
tutoient) Nicolas Sarkozy d’entrer dans le gouvernement Fillon au titre de
l’« ouverture ». Et pour cause, son credo, c’est la fermeture.
Théophraste R. (exorciste privé de Manuel Valls : « Sors de
ce corps, Hortefeux ! »).
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