Les terroristes face à leurs rejetons.
Afghanistan, 1979. L’URSS envahit le pays, les Américains, décidés à abattre
les Soviétiques, créent les Talibans et, dans la foulée, Al Qaïda. Ils sont
alors des « résistants » contre l’envahisseur. Les Américains leur avaient même
fourni les fameux Stingers qu’ils, soit dit en passant et expérience faite, leur
refusent en Syrie.
Reprenons depuis le début :
Afghanistan, 1979. L’URSS envahit le pays, les Américains, décidés à abattre
les Soviétiques, créent les Talibans et, dans la foulée, Al Qaïda. Ils sont
alors des « résistants » contre l’envahisseur. Les Américains leur avaient même
fourni les fameux Stingers qu’ils, soit dit en passant et expérience faite, leur
refusent en Syrie.
Quelques années plus tard et deux tours jumelles descendues, ils deviennent
des terroristes. Toujours terroristes en Irak, parce que combattant
l’envahisseur Américain, tiens, ils changent encore une fois de peau pour
devenir des révolutionnaires à la recherche de la liberté, en Libye.
Rappelons tout de même que le « commandant militaire » de la région de Tripoli ne fut autre qu’un certain Abdelhakim Belhadj, numéro deux d’Alqaida dans le pays, revenu fraîchement d’Afghanisatan où il combattait le « mécréant américain ».
La démocratie et la liberté installées, ils se dispersent, avec les armes que leur parrains leurs ont laissées en cadeau, au Mali, en Algérie et…en Syrie, devenue terre de Jihad. C’est là qu’ils obtiennent, encore une fois, le label de combattants de liberté.
Hollande/Fabius et avant eux Sarkozy/Juppé les soutiennent avec l’ardeur habituelle des héritiers de Danton et Robespierre et, accessoirement, obligés de Saad Hariri et de quelques chameliers Qataris.
Dernier acte, le 11 janvier, offensive tricolore contre les Jihadistes du Mali, ceux à qui l’on a distribué les cadeaux laissés par Kadhafi, pour, je vous le donne en mille…libérer le pays du terrorisme.
Chapeau bas l’artiste. On a rarement pu assister à un numéro d’équilibriste aussi parfaitement exécuté.
À la différence des autres fois, les rejetons ne sont plus successivement, mais à la fois démocrates, combattants de la liberté et…terroristes.
On se demande vraiment comment ils font. Peut-être que certains de nos…journalistes pourront nous le dire ! Q’en pensez-vous ?
Rappelons tout de même que le « commandant militaire » de la région de Tripoli ne fut autre qu’un certain Abdelhakim Belhadj, numéro deux d’Alqaida dans le pays, revenu fraîchement d’Afghanisatan où il combattait le « mécréant américain ».
La démocratie et la liberté installées, ils se dispersent, avec les armes que leur parrains leurs ont laissées en cadeau, au Mali, en Algérie et…en Syrie, devenue terre de Jihad. C’est là qu’ils obtiennent, encore une fois, le label de combattants de liberté.
Hollande/Fabius et avant eux Sarkozy/Juppé les soutiennent avec l’ardeur habituelle des héritiers de Danton et Robespierre et, accessoirement, obligés de Saad Hariri et de quelques chameliers Qataris.
Dernier acte, le 11 janvier, offensive tricolore contre les Jihadistes du Mali, ceux à qui l’on a distribué les cadeaux laissés par Kadhafi, pour, je vous le donne en mille…libérer le pays du terrorisme.
Chapeau bas l’artiste. On a rarement pu assister à un numéro d’équilibriste aussi parfaitement exécuté.
À la différence des autres fois, les rejetons ne sont plus successivement, mais à la fois démocrates, combattants de la liberté et…terroristes.
On se demande vraiment comment ils font. Peut-être que certains de nos…journalistes pourront nous le dire ! Q’en pensez-vous ?

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