Sami Kleib - Arabi press -

Pourtant, M. Bachar al-Assad est toujours fidèle à
son poste, tandis que le ministre russe des Affaires étrangères, M. Sergueï
Lavrov, déclare que son éviction du pouvoir « est
impossible à mettre en oeuvre » ; que l’un des plus importants conseillers
du Guide suprême iranien, M. Ali Akbar Velayati, parlant des limites acceptables
par son pays quant à la situation syrienne, avertit qu’« Assad reste une ligne rouge » ; et que le ministre
syrien des Affaires étrangères, M. Walid al-Mouallem, contredit tout ce qui a pu
être colporté à ce sujet et notamment les interprétations consécutives aux
déclarations du vice-président syrien, M. Farouk al-Chareh, ajoutant que ceux
qui persistent à soumettre la « solution
politique » au départ d’Al-Assad assumeront la responsabilité de la
poursuite de la guerre en Syrie ! [Intervention télévisée du 19 Janvier 2013 sur
Al-fadaiya, NdT].
Par conséquent, la déduction logique qui s’impose
est que « l’axe Russie-Iran-Syrie » a tenu bon et
qu’il se dirige probablement vers des solutions politique et sécuritaire qui
mériteraient de revenir sérieusement sur les causes premières de ces événements,
lesquelles pourraient bientôt influer sur la situation libanaise et sur ce qui
s’y prépare du point de vue loi électorale, entre autres. Ce, d’autant plus que
de Moscou à Téhéran en passant par la Syrie et le Liban, conviction est faite
que ce qui se passe en Syrie est la manifestation d’une « guerre froide mondiale » où Damas est devenue le
lieu de la victoire ou de la défaite, tant qu’un compromis n’a pas été
trouvé.
Ces jours derniers, ceux qui ont pu rencontrer le
président syrien [dans sa résidence que, contrairement aux rumeurs, il n’a pas
quittée], se sont dits surpris par son calme et la tranquillité de ses propos.
Pour lui, l’équation s’est inversée ; l’État syrien restera droit dans ses
bottes tant que cette guerre se prolongera ; le combat n’est pas à situer entre
le pouvoir et l’opposition mais entre l’État et des terroristes et, quoi qu’il
en coûte, il se poursuivra jusqu’à l’éradication du dernier d’entre eux. Il n’a
jamais douté ni de son gouvernement, ni de l’armée syrienne. Il n’a jamais douté
de l’allié russe sur le plan international, ni de l’allié iranien sur le plan
régional. Il dit d’un ton rassurant : « Dès le départ,
nous avons dit que notre alliance stratégique avec la Russie ne changerait pas à
tous les virages, beaucoup pensaient que nous exagérions ! ». Pour rappel,
cette alliance s’est effectivement dessinée début 2007, et n’a cessé de se
renforcer jusqu’à devenir le rempart solide contre toute tentative de frappes
contre la Syrie, aussi bien au sein de l’Assemblée des Nations Unies qu’au de
Conseil de sécurité.
Ainsi, le Président syrien ne semble pas inquiet de
l’expansion de « l’opposition armée », et
disposerait de nombreux indices confirmant que l’armée syrienne est capable de
résoudre nombre de batailles reportées à plus tard. Il n’empêche que la
géographie syrienne a permis à des médias anti-syriens de divulguer leurs « clichés » sur le soi-disant échec inévitable des
forces de sécurité syriennes, aidés en cela par une répartition de la population
ne permettant pas à l’armée de rester sur place dans beaucoup de régions
nettoyées. De fait, l’armée se retire une fois les nombreux éléments armés
éliminés, voire exterminés, mais d’autres éléments arrivent ! Ceci dit, Assad
est néanmoins convaincu que « l’environnement leur
devient de plus en plus défavorable », nombre de citoyens s’étant mis à
aider efficacement l’armée pour les démasquer ou indiquer leurs repaires.
Cet optimisme du président syrien va de pair avec
nombre de nouvelles donnes internationales et régionales
1. La réelle inquiétude des USA de voir « Jabhat al-Nousra » et les djihadistes l’emporter au
détriment de l’opposition « acceptée par
l’Occident », associée à la quasi certitude que l’armée syrienne restée
soudée depuis bientôt deux années n’est plus susceptible de se laisser
désolidariser. Idem pour le corps diplomatique, malgré tous les efforts de l’ex
ambassadeur US à Damas, Robert Ford. Ce dernier, qui dès le deuxième mois de la
crise syrienne a eu beau tenter des percées majeures au niveau des institutions
sécuritaires et diplomatiques en poussant officiers et personnalités alaouites à
la dissidence, aurait fini il y a quelques jours par lever les bras au ciel en
avouant avec amertume : « Je ne sais comment Assad
partirait, il se peut qu’il ne parte jamais, il ne veut pas partir ! ». Cet
aveu pourrait trouver écho dans les chancelleries occidentales, y compris au
ministère français des Affaires étrangères !
Car, les Mouvements djihadistes ne plaisantent pas
et, comme l’a dit un responsable syrien, « la magie
s’est retournée contre les magiciens ! ». En effet, les Américains et
certains Européens sont surpris de constater que la permission qu’ils ont
accordée à quelques djihadistes pour traverser leurs frontières avant de
s’infiltrer en Syrie par la frontière turque, a dépassé leurs attentes ! Du
Sinaï à l’Irak et à la Syrie en passant par la Jordanie et le nord du Liban, les
djihadistes se sont disséminés dans le corps de l’Orient. Il est donc devenu
nécessaire de fermer les yeux sur les opérations de l’armée syrienne pour les
éliminer. Autrement dit, plus l’armée syrienne en éliminera, moins le fardeau
des occidentaux pèsera !
2. L’intervention française au Mali,
l’enlèvement d’Occidentaux en Algérie, et l’incapacité de libérer un otage en
Somalie, ont fini par réveiller les pays occidentaux ! De nombreux contacts ont
eu lieu ces derniers jours entre Paris, Washington, Londres et certains pays
arabes pour endiguer cette marée djihadiste aussi rapidement que possible. Des
sources françaises ont même accusé certains dirigeants arabes de promouvoir un
climat propice aux djihadistes et à Al-qaïda, pendant que d’autres doigts tout
aussi accusateurs désignaient ceux qui avaient armé cette organisation en Libye.
Mais, un ouvrage en cours de rédaction devrait bientôt paraître en France et
mettre en lumière l’influence néfaste du Qatar sur certains pays arabes et
européens, dont la France… sans pour autant espérer connaître le réel degré
d’implication de ce dernier pays dans la crise syrienne ou ouest-africaine avant
de longs mois !
3. Le changement d’optique de certains
dirigeants arabes. À commencer par le roi de Jordanie qui aurait confié à Abdel
Bari Atwan du journal « Al-Quds al-Arabi » et à
l’écrivain jordanien de gauche Nahed Hattar : « Le
président Assad reste mais l’équation est en cours de modification ! ». Des
membres du Renseignement jordanien auraient confié la même chose à leurs
homologues libanais et syriens. Quant aux monarques saoudiens, des contacts
discrets se poursuivraient entre Riyad et Damas. Il semble qu’ils aient calmé la
tempête sans avoir abouti à de grands résultats, mais ce serait un bon début.
D’ailleurs, Damas ne se réfère pas au pouvoir central de l’Arabie saoudite, mais
plutôt à des parties influentes dont l’une des plus éminentes exprimerait déjà
une opinion différente sur l’intervention en Syrie. Le Qatar reste le principal
accusé même si Walid al-Mouallem a nommément cité le Qatar, l’Arabie saoudite et
la Turquie [en tant qu’ États responsables du financement, de l’armement et de
l’hébergement des terroristes sous direction US ; NdT] [1]. Ceci dit, la Syrie n’est pas la seule à accuser le Qatar ;
des responsables algériens, irakiens, libanais et égyptiens ne cachent plus leur
exaspération devant l’entêtement des Qataris à armer l’opposition.
4. L’entente russo-américaine sur plusieurs
points de détails concernant la crise syrienne, accompagnée par des changements
fondamentaux dans l’administration Obama. Cette entente étant principalement
basée sur l’Accord de Genève du 30 Juin 2012, il est donc indispensable de
trouver un règlement associant les autorités actuellement au pouvoir et les
parties d’opposition. Damas accepte la réactivation de la mission de M. Lakhdar
Brahimi, mais selon ses propres termes. De son côté, Moscou n’acceptera pas que
l’on fasse pression sur Al-Assad pour l’obliger à quitter le pouvoir ; M. Lavrov
ayant explicitement souligné à ses homologues européens qu’Al-Assad est toujours
très populaire en Syrie, ce qui l’autorise à se présenter au suffrage universel
et éventuellement à gagner les prochaines élections présidentielles. Quant aux
Iraniens, il suffirait de passer par Téhéran pour comprendre qu’il n’y a pas
place pour les tergiversations réclamant le départ d’Al-Assad, et aussi pour
mesurer l’étendue de leur colère contre les dirigeants qataris et la sévérité de
leur blâme à l’encontre des dirigeants de la Turquie.
5. Le net recul du rôle de la Turquie, malgré
les vociférations obligées contre le président syrien. Le premier ministre
Erdogan serait d’ailleurs parfaitement conscient de l’impasse dans laquelle il
s’est engagé. De sources parisiennes, son ministre des Affaires étrangères,
M. Ahmet Davutoglu, serait en passe d’être remercié. Il semble que les autorités
syriennes soient arrivées à une mutuelle compréhension avec les Kurdes. Les
combattants du « Parti des travailleurs du
Kurdistan », ou PKK, seraient devenus un rempart contre les attaques venant
de Turquie avec, selon la rumeur, d’autres surprises en perspective. Un
responsable de l‘OTAN assure que les antimissiles « Patriot » ont été installés
en Turquie pour protéger la Turquie non pour qu’elle attaque ! Ankara est donc
inquiète pour sa sécurité, alors que M. Erdogan n’a eu de cesse de prédire le
départ d’Al-Assad, tandis qu’une question reste en suspens : l’assassinat des
trois militantes kurdes à Paris relève t-il du hasard ?
6. Beaucoup d’informations circulent en
Syrie. Il se dit que des changements seraient en cours en Arabie Saoudite et au
Qatar. Le royaume saoudien, qui a mené une guerre médiatique implacable avec les
Émirats arabes unis et le Koweït contre les Frères musulmans d’Egypte et de
Tunisie, préparerait l’étape d’après le roi Abdallah. D’après le Washington Post, la santé du monarque saoudien se
serait dégradée et la priorité de Washington consisterait à veiller au bon
remplacement de l’ancienne génération par une nouvelle. Un discours du même
ordre circule sur la santé du prince qatari, et Doha se préparerait elle aussi à
des remaniements politiques.
Mais le plus important pour Damas reste l’option
militaire visant l’éradication des djihadistes et de leurs proches associés
qaidistes. On ne parle plus beaucoup de « l’opposition
intérieure » dite modérée. Les dirigeants syriens, de tout échelon, leur
reprochent d’avoir tardé à réagir et d’avoir laissé le champ libre à des
combattants qui ne connaissent rien aux réformes, à la liberté et à la
démocratie. Mais malgré ces reproches, la solution politique est sur la table,
telle que proposée par M. Bachar Al-Assad dans son discours du 6 Janvier
dernier : Charte nationale, référendum, Constitution et élections [2]. Autant de propositions fondamentalement approuvées par la
Russie, et qui ont fait que l’administration de M. Poutine s’est posée une fois
de plus en rempart contre les attaques occidentales et arabes en réponse à ce
discours. Encore mieux, l’administration russe est allée jusqu’à considérer
qu’il correspondait au maximum de ce que pouvaient proposer les autorités
syriennes et, qu’à partir de là, il revenait à l’opposition d’imaginer une
alternative pour résoudre la crise.
Ce qui précède est certes très important, mais
l’évolution des combats sur le terrain et les nouvelles stratégies militaires
sont plus importantes encore. L’armée a tiré bénéfice de ses erreurs passées, et
a bouclé d’une main de fer les failles du système sécuritaire creusées par la
corruption financière. Ces derniers mois, des comités populaires, aidés par des
compétences russes, ont suivi des entrainements intensifs et ont développé un
réseau de surveillance et d’écoute qui a rivalisé avec toute l’aide occidentale
fournie à l’opposition armée. L’auto-défense est devenue le maitre mot dans
certains milieux plus particulièrement menacés, et Il se dit que dans certains
cas les comités populaires ont dépassé en efficacité l’armée elle-même !
Tout cela a coïncidé avec des mesures économiques
auxquelles ont contribué la Russie, l’Iran, l’Irak, et d’autres états qu’il n’y
aurait pas lieu de mentionner aujourd’hui. Il se dit que la reconstruction de ce
qui a été détruit est, d’ores et déjà, envisagé en collaboration avec certains
pays et particulièrement avec la Russie. Le facteur pétrolier est aussi entré en
ligne de compte. Ces mesures n’ont pas empêché l’aggravation de la crise
économique, mais la situation aurait été bien pire si elles n’avaient pas été
prises. Le souci économique est de taille, mais le président syrien semble
confiant dans la programmation des prochaines étapes. Partout où des ajustements
ont eu lieu, comme à Homs, les conditions de vie du citoyen se sont améliorées.
De nouveaux ajustements sont prévus à Alep avec l’espoir de lui éviter de
nouvelles guerres. Par ailleurs, la gravité de la situation a fait que des
réfugiés et des personnes déplacées ont reconstruit les ponts avec le
gouvernement.
Suite à ces nouvelles donnes, quelles sont les
perspectives ?
Il est vraisemblable que la poigne de fer va se
maintenir à intérieur, pendant que de nombreuses réunions d’« opposants » se
dérouleront à l’extérieur. Certains fonderaient encore des espoirs sur ce que
prépare le « Comité de Coordination pour le Changement
national et démocratique » ou CCCND [qui a refusé la solution politique
proposée par le président syrien ; NdT] [3] et son représentant à l’étranger, M. Haytham el-Manaa. Cet
opposant aurait le mérite d’avoir toujours refusé les solutions militaires, la
militarisation de la révolution, l’intervention étrangère, et aurait rencontré
plus de 32 ministres des Affaires étrangères ! Ces derniers temps, il serait
très sollicité et surtout par les Pays du Golfe ! Il présiderait la prochaine
réunion supposée rassembler, à Genève, des personnalités du gouvernement syrien
[peut-être de l’Assemblée du peuple] et d’autres personnes gravitant autour de
la confrérie des Frères Musulmans. Ces réunions se tiendraient sous les auspices
de la Russie avec la coopération des Européens et seraient bienvenues pour les
Iraniens et des pays du Golfe opposés à une trop forte gouvernance par des
Frères Musulmans ! On s’attend à ce qu’elles soient suivies par des contacts
entre les autorités politiques syriennes et l’opposition. La Russie, l’Iran,
l’Arabie saoudite et l’Egypte sont sur la ligne ; la Turquie étant obligée de
suivre.
Moscou compterait sur ces réunions pour signifier
aux dirigeants US que l’unique solution pour arrêter la guerre en Syrie passe
par : la mise en application de l’accord de Genève, le transfert des pouvoirs à
un gouvernement réunissant toutes les parties, et l’organisation des élections
de 2014 ; élections auxquelles il n’est pas question d’interdire à Bachar
al-Assad de se porter candidat. Ainsi, les choix seraient clairs ; soit ce
règlement est accepté avec arrêt du soutien des insurgés et arrêt de la guerre ;
soit la guerre se poursuit sans aucune possibilité concrète de modifier
l’équation, mise à part celle de l’assassinat du président Bachar al-Assad par
les insurgés, aidés par l’Occident !!! Ce serait donc pour cette raison et parce
qu’il semble être le seul garant de la survie de l’État syrien, que Moscou puis
Téhéran ont déclaré qu’Al-Assad restait « une ligne
rouge » à ne pas franchir. Sans oublier que, jour après jour, d’autres pays
en arrivent à la conviction qu’il n’y aura de règlement que par une solution
politique à laquelle tous devront participer, y compris le président syrien.
C’est en tous cas ce qui ressort des communications, non déclarées, entre
l’Égypte, l’Iran, l’Arabie saoudite, ainsi que la Turquie !
Qu’en est-il du Liban ?
Certains responsables syriens aiment rappeler que ce
sont des accords internationaux, en particulier avec la France, qui ont amené
M. Michel Sleimane à la présidence et qu’en conséquence, ses prises de position
ne sont pas surprenantes. À un moment donné, le président libanais et le Premier
ministre, Najib Mikati, ont vraiment cru à la chute du régime syrien. Il se dit
que les Libanais tombent toujours dans l’erreur de croire l’Occident quand il
leur parle de changements ! En tout cas, quoique M. Miqati reste en meilleure
position que M. Sleimane à Damas, les interrogations sont importantes. Il ne
s’agit ni de satisfaction ni de colère contre les responsables libanais, mais de
beaucoup de blâmes, notamment pour avoir autorisé la contrebande des armes et
avoir attaqué l’ambassadeur de Syrie au Liban. Ces blâmes se résumeraient en une
phrase énoncée par une personnalité syrienne : « Cette crise nous a permis de découvrir quels sont nos
vrais amis, nous n’oublierons jamais la leçon ! ».
Les responsables syriens aiment aussi souligner que
le voyage en Russie de M. Walid Joumblatt, chef du « Parti socialiste progressiste », signifie beaucoup
par les temps qui courent. Le voilà qui s’apprête à un grand retournement,
maintenant qu’il a compris que « le vent a
tourné » contrairement à ses prévisions. C’est avec un certain sourire,
qu’ils commentent les divisions libanaises sur la loi électorale et le retour au
pays, sans cesse reporté, de l’ex Premier ministre Saad Hariri. Ils sont
convaincus que ce retour n’aura lieu qu’après entente entre la Syrie et l’Arabie
saoudite, ce qui n’arrivera pas de sitôt ! Certains disent que les lois
syriennes dépassent largement la loi électorale libanaise dite des « Soixante » et de toutes celles qui en découlent.
D’autres affirment que « Damas n’oubliera pas ceux qui
l’ont soutenue, tout comme elle n’oubliera pas ceux qui ont contribué à verser
le sang syrien ». Ces propos se traduiront-ils sur le terrain ? Le silence
est roi… Avec cependant, des petits bruits en provenance de quelques
personnalités libanaises anti-Assad qui tentent de rétablir les lignes avec
Damas ces deux derniers mois ; alors qu’un haut responsable de la Sécurité
libanaise persiste à clamer que le régime syrien tombera d’ici deux mois.
Exactement ce que clamaient Ms Obama, Sarkozy et Erdogan !
Finalement, une fois de plus, il est clair que les
intérêts des États l’emportent sur les souffrances des peuples, surtout
lorsqu’il s’agit des peuples arabes. Et dans l’attente d’un règlement, la guerre
ne parait pas devoir toucher à sa fin !
Sami Kleib - Arabi press, 21 janvier 2013 -
Article traduit de l’arabe par Mouna Alno-Nakhal
pour Mondialisation.ca (23.01.2013) :
http://www.mondialisation.ca/syrie-nous-noublierons-pas-la-lecon/5320223
http://www.mondialisation.ca/syrie-nous-noublierons-pas-la-lecon/5320223
Texte original en arabe (21.01.2013) :
http://www.arabi-press.com/ ?page=article&id=59232
http://www.arabi-press.com/ ?page=article&id=59232
[1] Al-Mouallem : Le programme politique
pour le règlement de la crise est un texte intégré et se base sur la
coparticipation et l’opinion du peuple syrien
http://www.sana-syria.com/fra/51/2013/01/20/462771.htm
http://www.sana-syria.com/fra/51/2013/01/20/462771.htm
[2] Syrie : Qui est dans le déni de la
réalité ?
Le président al-Assad lance une solution politique de la crise en Syrie.
http://www.mondialisation.ca/le-president-al-assad-lance-une-solution-politique-de-la-crise-en-syrie/5318025
Le président al-Assad lance une solution politique de la crise en Syrie.
http://www.mondialisation.ca/le-president-al-assad-lance-une-solution-politique-de-la-crise-en-syrie/5318025
[3] Le CCCND veut-il remplacer la
Coalition de Doha ? Par Louis Denghien
http://www.infosyrie.fr/actualite/le-cccndveut-il-replacer-la-coalition-de-doha/
http://www.infosyrie.fr/actualite/le-cccndveut-il-replacer-la-coalition-de-doha/
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