La
machine à leurrer tourne à 12,000 tours-minute. Un vrai moulin de F-1.
Les politiciens sont comme les Ford-T : dépassés. Dépassés par ignorance,
vivant dans leurs limousines, leurs réunions, et se noyant dans une
bouteille d'eau. Le minus, champion de la formule creuse, est en train
de laisser les gens aller vers l'absolue pauvreté. Et l'absolue pauvreté
est déjà "sur les rails" ( beau cliché !). On ne répartit plus la
richesse, on répartit les emplois. Du moins ceux qui restent. Ceux qui
ne sont pas enfuis à l'autre bout du monde parce qu'un travailleur coûte
trop cher. Si
un travailleur coûte trop cher, demandez donc à votre ficelé politicien
combien coûte un ignare aveugle. Ceux qui se lamentent dans une courte
carrière - nantis du cerveau ( encore une notion à considérer), mais
chiches de l'âme - ont le loisir de travailler servir leur pays et leurs citoyens. Déjà qu'il manque un as à servir, c'est mal parti. Ce doit être un lapsus...Une
chose est sûre: on crée maintenant des mendiants dans tous les pays
riches du monde. À commencer par le pénible États-Unis qui aura bientôt
les moyens de se payer une Présidente. On a eu un noir. On aura une
blanche. On a eu un des hommes. On aura une femme.
Tout
pays confondus, la nouvelle monarchie planétaire est une bande de
blattes INC. On n'y changera rien. Puisque le nombre d'imitateurs en
files pour devenir riches, célèbres, ou participer au progrès du monde avec une vision de pirate outillé d'un œil crevé et d'une jambe de bois. Avec Ça,
le monde du travail est une usine de Ford. Une usine mobile. Le
travailleur se réveille un bon matin, oups ! l'usine est fermée. Un autre
se réveille, oups ! j'ai été remplaçé(e) par un robot.
Savez-vous de quoi débattent nos civilisés vendeurs d'armes et de formules passagères ? Mourir
dans la dignité. À voir nos vieillards bouffer des omelettes carrées,
des pommes de terre floconneuses et des petits pois gros comme des
billes, comme dirait l'autre : ça craint. Surtout quand on les voit plus
remplis de veines, tremblotants, les articulations tordues par les os
qui semblent se recroqueviller pour rentrer dans un tombeau, ça nous
émeut. Bizarrement, on a les moyens de les bouffir de médicaments mais
pas de nourriture... Une seule pilule peut coûter tous les repas de la
semaine. Oui, une seule ! Alors, pourquoi ne pas les nourrir
convenablement et avec amour ? C'est que maintenant, nous sommes
tellement avancés dans le progrès que l'on nourrit davantage les industries pharmaceutiques en format subventions.
L'apogée
du cynisme et du risible est contenu dans une vieille formule : on est
ce qu'on mange. À force de vivre dans ces poisons sociaux et de déni du
recul de notre qualité de vie par l'énorme outil du capitalisme
mondialiste qui échappe auxdites surveillance des États, nous sommes
dans une bizarroïde matrice remplie d'incultes élus fugaces qui se
tordent les neurones et leur pseudo morale sur le mourir pendant qu'ils
en font mourir une multitude.
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