
Comment
croire ce que la presse nous explique d’Alep, quand on constate un
bidonnage maximal sur ce qui s’est passé à Sisco ? À ce niveau-là, ça
devient quand même grave. Et bien sûr, jamais un mot d’excuse.
Nous
avons tous entendus la même chose : un groupe d’islamistes à la plage,
avec des femmes en burkini ; des passants veulent faire des photos de
cette crique, et les barbus s’y opposent violemment parce qu’il ne faut
pas prendre des photos de leurs femmes. Bref, c’est la charia à la plage.
Il
s’agit d’un groupe d’emmerdeurs, menés par trois frangins, dont un qui
a un casier noir comme un corbeau, qui veulent garder pour eux cette
crique toute la journée. Le procureur parle d’une logique de caïdat et
de privatisation de la plage, avec des incidents depuis le matin pour
garder ce « territoire ». Et ça a dégénéré dans l’après-midi avec des
faits très violents.
Lors de l'audience d’hier, le procureur a tenu à exclure une quelconque radicalisation. Il n’y avait pas de burkini, et la rixe n'a pas été déclenchée par une photo d'une maghrébine se baignant.
C’est grave et inquiétant.
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