En juin 2016, la réunion du groupe Bilderberg avait sélectionné deux personnalités politiques français. Quelques mois plus tard, ces deux personnalités politiques ont été placées aux postes clés :
  • Édouard Philippe est devenu Premier ministre.
  • Sylvie Goulard est devenue ministre des Armées (c’est nouveau : la France n’est plus une nation, la France est devenue une région d’un ensemble plus vaste : l’Union européenne ; donc on vient de supprimer la Défense nationale. Normal : il n’y a plus de nation).
En juin 2014, le Groupe Bilderberg avait sélectionné deux hommes politiques. Là encore, ils viennent d’être placés aux postes clés :
  • Emmanuel Macron est devenu président de la République.
  • François Baroin est devenu chef de l’opposition.
En juin 2017, le Groupe Bilderberg n’a plus du tout besoin de sélectionner des hommes politiques français : ils ont déjà placé leurs pions.

Sept Français triés sur le volet pour défendre la cause Bilderberg

En juin 2017, l’accent est donc mis sur les journalistes, les éditorialistes, les faiseurs d’opinion.
Objectif : faire un bourrage de crâne dans tous les médias français pour expliquer que la construction européenne, c’est génial, que l’Union européenne, c’est génial, que l’euro, c’est génial, que la future armée européenne, ça va être génial, etc...
En 2017, le Groupe Bilderberg a donc sélectionné, pour faire sa propagande médiatique, sept Français, tous européistes, tous chargés de répandre la bonne parole européiste :
  • Henri de Castries, ancien patron d’AXA, président de l’Institut Montaigne
  • Nicolas Baverez, journaliste, éditorialiste de l’hebdomadaire LE POINT
  • Thomas Buberl, patron d’AXA
  • Christine Lagarde, patronne du FMI
  • François Lenglet, journaliste sur France 2
  • Benoît Puga, ancien chef d’état-major
  • Bruno Tertrais, patron de la Fondation pour la recherche stratégique
Le Yéti