Régis de Castelnau
Depuis quelques jours, la question de la régularité des comptes de la
campagne présidentielle d’Emmanuel Macron est enfin posée.
On peut dire
« enfin », car pendant la campagne elle-même, les anomalies se
multipliaient sans que cela ait fait bouger un cil à la Commission
nationale des Comptes de Campagne et ensuite au Conseil constitutionnel.
Autre observation initiale, c’est l’étonnant culot dont font preuve les
soutiens politiques du nouveau président. Tout ce petit monde reconnaît
benoîtement les irrégularités, voire les revendique. Est-ce parce
qu’ils sont assurés de l’impunité ? À constater le refus d’intervenir
des instances de contrôle concernées et la mansuétude dont bénéficient
les amis du pouvoir, on peut être amené à le penser…
Avant d’examiner quelques détails, il convient de revenir sur le
cadre juridique dans lequel s’inscrit la vie politique française depuis
la loi de 1990, qui avait consacré son financement public.
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Emmanuel Macron, c’est donc un parlement aux ordres, une gauche politique anéantie, des contre-pouvoirs syndicaux en déshérence, un mouvement social en manque de débouchés politiques, des organes de contrôle qui ne contrôlent plus, des médias aux mains de l’oligarchie, la liberté d’expression brutalement attaquée…
Et en plus il n’arrête pas de pleuvoir.
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Emmanuel Macron, c’est donc un parlement aux ordres, une gauche politique anéantie, des contre-pouvoirs syndicaux en déshérence, un mouvement social en manque de débouchés politiques, des organes de contrôle qui ne contrôlent plus, des médias aux mains de l’oligarchie, la liberté d’expression brutalement attaquée…
Et en plus il n’arrête pas de pleuvoir.
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