Enc… ! Quelle belle fête de la musique pour Manu !

Théophraste

Le collégien qui a appelé Macron « Manu » et s’est excusé aussitôt sans pour autant échapper à une leçon de morale que les communicants de LREM ont mis en ligne afin que nul n’en ignore, a eu le tort d’être timide.

Il aurait dû dire : « Monsieur Macron, je peux venir à la fête de la musique à l’Elysée ? C’est mon rêve ». Macron, grand seigneur, n’aurait pu refuser et le gamin d’ajouter alors : « Parce que j’aimerais y faire un petit feu, y fumer, traiter des femmes de dévergondées, des hommes de sodomites familiaux, et y annoncer que je viens de goûter à quelques plaisirs énivrants ».
Et là, Monsieur le président de la 5ème puissance mondiale aurait rétorqué, tout rouge, : « Si tu veux faire la révolution, commence à apprendre que je parle « délicieusement » anglais. Je sais que tu parodies en usant de litotes (figure de rhétorique que Brigitte m’a apprise quand j’étais son élève) les paroles de Kiddy Smile que j’ai invité à L’Elysée pour qu’il y chante : ([attention, éloignez les enfants. Note de Théophraste R.] j’aimerais brûler cette maison, complètement. Il faut des femmes et de la beuh, ne t’assieds pas salope, je me suis fait sucer la bite et lécher les boules, et danse, enculé de ta mère ».

Théophraste R. (Auteur de l’essai : « Comment transformer le Palais présidentiel en une salle de garde ».

Le Grand Soir