Les lois et les mesures prises
pour lutter contre la corruption ne sont que des paravents derrière
lesquels la bourgeoisie dissimule ses forfaits. Le problème n’est donc
pas l’existence de la corruption, des scandales financiers, des affaires
et autres privilèges, mais celle du capitalisme qui les engendre. Il y a
eu dans le passé des scandales, il y a aujourd’hui des scandales et il y
aura dans l’avenir d’autres scandales tant que ce système existe. Le
véritable scandale, c’est le capitalisme lui-même.
Tiré de l'article Qu’elle est jolie la République bourgeoise !
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