mercredi 13 juillet 2016

Le futur existait déjà (2)

Olivier Cabanel

Les internautes se sont posé beaucoup de questions suite à la publication du 1er volet de l’article, et il est probable que leur perplexité va s’allonger comme le nez de Pinocchio à la lecture de ce second volet.

Quid en effet de ce marteau découvert dans une gangue de roche datée de 300 millions d’années, découvert par Max, et Emma Hahn, en 1936 aux Etats-Unis, dans le lit d’un ruisseau, près de Londres, au Texas, alors que chacun sait l’âge de fer à commencé il y a officiellement 3500 ans ?
Un rapport publié en 1983 déclare en effet que le marteau se trouvait dans un « calcaire daté de 300 millions d’années », même si quelques sceptiques sont convaincus que cet outil a été jeté par un mineur local, ou un artisan, et que la dissolution de sédiments calcaires visqueux durcissant autour du marteau aurait formé un nodule.
Réflexion recevable. lien
Quid de ce pot de fer découvert en 1912 en Oklahoma dans un bloc de charbon daté de 312 millions d’années ?


Lors d’un carottage marin réalisé par 9 mètres de profondeur, au cap Nazimova, près de Vladivostok, des pièces d’alliage de composition « inhabituelle » ont été datées à 240 millions d’années...
Dans ce même pays, les scientifiques sont plongés dans une belle perplexité face à un objet métallique, aimanté, contenant de 28 à 75% de carbone, semblable à de l’aluminium, ressemblant curieusement, à une denture de rail métallique, du genre de celle qui équipe nos microscopes modernes, daté à  300 millions d’années. lien


Plus près de nous, quid de cette « cloche » découverte au cœur d’une roche, lors d’un dynamitage, à Meeting House Hill, à Dorchester, dans le Massachusetts, à 5 mètres de profondeur, en 1852, composé d’un alliage de Zinc et d’Argent, et daté d’ 100 000 ans... ?
 Lors de l’explosion, l’objet fut endommagé, mais pu être reconstitué et se trouve aujourd’hui à Mumbai.
Haut de 114 mm, avec une base de 165 mm, le métal a une épaisseur de 3 mm, il est de style victorien, décoré de 6 fleurs en argent, incrustées, et d’une vigne, elle aussi en argent.
Pourtant, certains scientifiques affirment que rien ne permet de prouver qu’il était à l’intérieur de la roche, et leur réflexion n’est pas négligeable. lien
Mais allons un peu plus loin...
Comment ne pas être intrigué par ces 200 petites boules de Nikel, métal qui n’existe pas à l’état naturel, de 2 à 10 cm de diamètre et découvertes dans les années 70 dans une mine d’argent, la Wonderstone Silver Mine, près d’Ottosdal, en Afrique du Sud et communément nommées sphères de Klerksdorp ?
Si certains chercheurs affirment qu’elles seraient de simples nodules de pyrite d’origine métamorphique ou de goethite formées par l’érosion, sans pour autant expliquer la présence sur certaines de rainures, comme si elles avaient été usinées, d’autres pensent qu’elles seraient composées d’un alliage de nickel et d’acier, lequel n’existe pas à l’état naturel sur notre terre, et ne peut être qu’issu d’une industrie sidérurgique.
Elles ont été extraites d’une formation rocheuse de pyrophyllite, datée de 2,8 à 3 milliards d’années, et sont à l’abri derrière les vitrines d’un musée, ce qui ne les empêche pas de tourner toutes seules sur leur axe de temps à autre.
Certaines, une fois sciées, ont montré qu’elles étaient creuses, avec à l’intérieur une matière spongieuse qui s’est désintégrée au contact de l’air.
Plus étonnant, c’est sur la planète Mars que le robot Opportunity a découvert, lors de la mission « Mars exploration rover » en septembre 2012 des sphérules de 3 mm de diamètre dans la région du cratère Endeavour. lien
Mais à quoi auraient pu servir ces boules presque creuses ?
En 2007, en plein désert égyptien, près d’Assouan, une autre petite sphère prise en partie dans la roche interroge le monde scientifique, et certains vont jusqu’à imaginer qu’il s’agirait de semences cosmiques destinées à diffuser la vie, un peu partout, dans l’espace.
Ce qui serait accrédité par les textes anciens, que ce soit la Bible, la Torah, ou le Popol-Vuh qui évoquent les Élohims (traduction : des anges descendus du ciel) mettant en péril la théorie d’un Dieu unique (puisqu’il aurait été appelé Éloha, singulier d’Élohim, comme l’explique Frank Gordon dans son livre « « Popol-Vuh, histoire extraordinaire de la Création par des dieux ingénieurs  ».
je ne disait pas autre chose dans mon article « le Monde avant l’ère » dans lequel j’imaginais des scientifiques d’un autre monde, installant sur le sol de notre planète des humains domestiques, sur le modèles des humains « sauvages » qui y vivaient déjà....ce qui expliquerait le profond décalage entre ces hommes « domestiqués » qui font de cette planète un enfer, et les autres qui ont toujours vécu en harmonie avec elle.
On pourrait aussi s’interroger sur l’origine de ces 200 boules de granit, parfois géantes, pesant jusqu’à 16 tonnes, leur diamètre allant de quelques centimètres à près de 3 mètres, d’une rotondité parfaite, et découvertes au cœur de la forêt costaricaine du coté de Piedras Blanca.
S’il faut en croire Erich Von Däniken, l’un des découvreurs de ces boules, au vu de leur perfection, elles ne peuvent d’origine naturelle.
De plus, il a constaté que certaines étaient placées en groupes au sommet de diverses collines, certaines étant toujours placées au centre de la colline.
Pour les indiens du cru, une légende évoquant ces boules, appelées Indians-ball représenteraient le Soleil, légende rejetée par les archéologues, rappelant qu’à ce degré de latitude, le soleil, s’il fut parfois représenté par un cylindre, voire une roue, ou un disque doré, il ne le fut jamais sous forme d’une sphère.

 Certaines de ces boules sont gravées, voire sculptées, mais ces dessins n’ont pas, à ce jour, livré leur mystère. lien
Yvon Leclerc, chercheur à l’institut international du Paléozoïque, les a étudié, et affirme qu’elles dateraient de 1600 ans, voire plus, et que la marge d’erreur du façonnage est de l’ordre de 2 mm, affirmant que même avec nos outils actuels, il serait difficile d’arriver à une telle perfection. lien
Allons maintenant dans la partie orientale des montagnes d’Oural, en Russie, ou des milliers d’objets métalliques et spiralés ont été découverts par  10 mètres de profondeur au cœur d’une couche sédimentaire du pléistocène inférieur, datée donc entre 11 000 et 130 000 ans.
Ces objets, de petite taille, entre 3 cm et 3/1000ème de millimètre, observés au microscope révèlent une structure parfaite, n’ayant pu être façonnés que par une technique du domaine de la nanotechnologie.
De plus, les plus petits sont en tungstène, utilisé de nos jours pour les filaments des ampoules, matière dont le point de fusion est de 3410°C, et pourtant leur datation se situe entre 20 000 et 318 000 ans.


L’institut de Moscou à publié un rapport sur ces objets, numéro 18/485, daté du 29 novembre 1996, concluant : « les données obtenues permettent d’envisager la possibilité d’une technologie d’origine extra-terrestre ». lien
C’est en effet dans les années 1991/1993 que des chercheurs d’or, fouissant au bord des fleuves Narada, Koshim, et Balbanyu ont trouvé des milliers de ces minuscules objets, parfois en cuivre, mais aussi en tungstène, voire en molybdène, ce métal utilisé de nos jours pour durcir les aciers, et les rendre résistants à la corrosion. lien   

Plus près de nous, on aurait pu aussi s’interroger sur les cartes de l’amiral turc Piri Reis, découvertes en 1929, et datées de 1513, cartes représentant avec exactitude le continent africain, et américain, tenant compte de la courbure de la terre, et dont les experts affirment qu’elles n’ont pu être réalisées qu’à partir d’une observation depuis le ciel.
Plus surprenant, le Pôle Sud y est parfaitement dessiné, dégagé de ses glaces, alors que celles-ci le recouvrent encore partiellement, et que ce n’est que par des observations satellitaires que le contour de ce pôle a pu être dessiné en 1958.
Comment expliquer qu’y figure, entre autres, l’isthme qui relie l’Amérique du Sud à l’Antarctique, isthme disparu il y a 10 000 ans.
La carte envoyée au Professeur Charles H. Hapgood lui amena cette réflexion publiée en 1966 dans son ouvrage, Maps of the ancient sea kings : « Ces cartes, selon toute vraisemblance, on été dressées par un peuple inconnu, puis léguées à d’autres civilisations, peut-être les Crétois de l’époque de Minos et les Phéniciens  ». lien
Toutes ces découvertes ne permettent-elles pas de reposer LA question : « et si nos grands ancêtres étaient plus évolués que nous ? » question en amenant une autre : « et si les grands anciens n’étaient pas d’origine humaine ?  »

Comme dit mon vieil ami africain : « Taire la vérité, c’est enterrer de l’or ».

Aucun commentaire: