Bon bon bon, ben ça finit quand même par se décanter tout ça ! Nos
candidats ayant, entre deux écrans publicitaires, appuyé chacun sur son
buzzer...
Parce que l’on peut commencer sérieusement à se projeter et à se familiariser avec ce vraisemblable qui n’a rien encore de probable mais qui vient.
Incarner les choses et les matérialiser étant déjà le début d’une réalité à laquelle on finit par s’habituer, aucune raison de laisser ce privilège à la caste à Macreux qui dans un déluge de paillettes et de fric n’arrive même plus à faire d’un petit bonhomme inconsistant et fade l’égérie de minettes impubères
Et tandis que le cuistre de la philosophie ménopausée trouve grossier que le gueux puisse venir sans cravate
les larbins de l’empire de la finance libèrent leurs sphincters et leur morgue de classe.
Examinons donc la chose posément et nos adversaires bien coiffés de la raie au milieu et de la mèche rebelle avant calvitie que notre héraut va coiffer au poteau en un sprint à la Bolt :
Croisons les doigts en tout cas, pour que ce ne soit pas Poutou, JLM étant foutu pour l’occasion de ressortir ses chemisettes.
Penser à porter mon costard (acheté par moi-même) au pressing fissa, des fois, que, sur un malentendu, je finisse ministre.
rue-affre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire