Combien de fois encore Nicolas Hulot
jouera-t-il le rôle du dindon de la farce écologique ? Il s’était déjà
fait berner par l’entourloupe Grenelle de l’environnement.
Le voilà qui replonge en acceptant le rôle de “Ministre de la
Transition écologique et solidaire” dans un gouvernement dirigé par un
ancien cadre d’Areva, fervent défenseur de NDDL.
« J’espère que cette nouvelle donne offrira un terreau fertile… »
Tant de naïveté laisse pantois ! Qu’est-ce qu’il croit, Hulot ? Que
les lobbies pro-nucléaires, pro-aéroports à-tout-va, vont s’effacer d’un
seul coup d’un seul devant son aura de chouchou médiatique ?
Un mot aurait pourtant dû le faire tiquer dans l’appellation officielle de son ministère : “ministre de la Transition écologique et solidaire”.
Parce qu’il est bien clair, sauf aux yeux de notre nigaud, que ce
nouveau gouvernement n’a pas d’autre ambition que d’être un gouvernement
de transition. Et même de transition électorale, le temps que viennent des élections législatives pas encore bien assurées.
Pariez qu’après le verdict de celles-ci, tous les idiots utiles
(Hulot, Flessel…) de ce gouvernement de transition électorale
disparaîtront très vite, tout comme disparurent aussi sec les dames
d’ornement du premier gouvernement Hollande en 2012.
Et notre Hulot national, beaucoup moins rigolo que celui de Tati,
restera dans l’histoire comme un éphémère ministre de transition tout
court.
Le Yéti
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