lundi 26 juin 2017

Los ideas no se matan

Théophraste             

En juin 2017, mon lecteur est démoralisé par la vague macroniste composée de chèvres estampillées Macron et encadrées dans l’hémicycle par des patrons déguisés, des politiciens traîtres, des gibiers à tribunaux.
En décembre 1956, après la défaite du débarquement du Granma à Cuba où la plupart des 82 guérilleros se noyèrent, furent abattus ou capturés, Fidel Castro rassembla la poignée de survivants (dont Raúl Castro, Camilo Cienfuegos et le Che). Il compta les escopettes avec lesquelles ils allaient affronter l’armée du dictateur Batista et il eut cette parole folle et prophétique : « Maintenant, nous allons gagner ».
En janvier 1959, il entrait dans La Havane offerte aux barbudos.

Te lo digo yo : la politique, c’est ça. Y croire et ne rien lâcher. Il n’est de citadelle assiégée qui ne finisse par céder.

Théophraste R. (« Toujours debooout, rassurez-vooous… »).

Pour sourire : Fabien Namias insulte Manuel Bompard en direct sur Europe 1 : https://www.facebook.com/mbompard/videos/867733766716342/

Le Grand Soir

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