En juin 2017,
mon lecteur est démoralisé par la vague macroniste composée de chèvres
estampillées Macron et encadrées dans l’hémicycle par des patrons
déguisés, des politiciens traîtres, des gibiers à tribunaux.
En décembre 1956,
après la défaite du débarquement du Granma à Cuba où la plupart des 82
guérilleros se noyèrent, furent abattus ou capturés, Fidel Castro
rassembla la poignée de survivants (dont Raúl Castro, Camilo Cienfuegos
et le Che). Il compta les escopettes avec lesquelles ils allaient
affronter l’armée du dictateur Batista et il eut cette parole folle et
prophétique : « Maintenant, nous allons gagner ».
En janvier 1959, il entrait dans La Havane offerte aux barbudos.
Te lo digo yo : la politique, c’est ça. Y croire et ne rien lâcher. Il n’est de citadelle assiégée qui ne finisse par céder.
Théophraste R. (« Toujours debooout, rassurez-vooous… »).
Pour sourire : Fabien Namias insulte Manuel Bompard en direct sur Europe 1 : https://www.facebook.com/mbompard/videos/867733766716342/
Le Grand Soir
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