mercredi 2 mai 2018

Mai 18 : dégager Macron, l’usurpateur de l’Élysée


Pierrick Tillet

Un président légitime contesté, tu peux discuter avec. Un usurpateur faisant fonction, tu le vires sans discuter. Le plus tôt est le mieux.

Macron est incontestablement de la seconde catégorie, celle des usurpateurs illégitimes. Je n’avais même pas attendu son élection, pour dire que je ne le reconnaîtrai jamais comme président de ma République. Pour quelques raisons très simples :
  • la présidentielle 2017 avait été entachée de nullité dès lors que l’équité entre les différents candidats avait été outrageusement bafouée, avec toute l’oligarchie politico-financière  poussant leur seul candidat désigné au détriment de tous les autres ;
  • avec tous les médias lui accordant quasi exclusivement leurs faveurs, leurs unes et leurs plateaux, et n’invitant ses concurrents que dans le seul but de les déstabiliser.

La présidence Macron : un fait accompli crapuleux

Voilà maintenant qu’on apprend que l’usurpateur a même outrepassé les règles démocratiques du scrutin en bénéficiant du support totalement illégal d’entreprises privées (affaire GL Events), ce qui devrait immédiatement lui valoir d’être déclaré inéligible.
Peu de chances que Macron soit destitué par la “Justice”. Mais trop, c’est trop ! Et ce n’est certes pas ce paravent ridicule dressé en urgence précipitée par les médias mainstream à propos de croquettes à chien, de dentifrice et de taxe d’habitation1, payés paraît-il des deniers de l’imposteur, qui peut nous faire changer d’avis.

Que Macron occupe le poste, le rôle et les locaux prévus à cette fonction indue relève d’un fait accompli crapuleux. Rien n’engage les citoyens à le respecter. Le seul but politique à avoir face à ce fait accompli est de chasser l’intrus sans attendre. Mai 18 serait une bonne date.

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