dimanche 23 février 2020

Gaspard, rat du roi


tgb

Bon faisons simple, bourrin, brutal : je hais ce type !

Je le hais d’instinct, de façon épidermique, viscérale. Et comme l’envie irrépressible de péter sa tronche de premier communiant, de chouchou délateur planqué derrière le dos du dirlo, avec cet air con supérieur et sa raie du cul crantée sur le côté.
Je hais, j’exècre, j’abomine, j’ abhorre.
Bon pas lui évidemment. Je ne le connais pas, je ne l’ai jamais croisé et n’avait aucune chance, vu qu’on n’a surement pas du faire le même « couvent des oiseaux », qu’on n’a pas fréquenté les mêmes cocktails dinatoires, ni les mêmes rotary clubs.
Pas lui non mais son genre, le genre à pas se prendre pour de la merde avec sa gueule d’étron à strabisme convergent macronard.
On a dit pas le physique. Mais si le physique ! tant parfois le physique est le reflet parfait de la pensée saloparde, de l’opportunisme visqueux, prêt à toutes les saloperies, à toutes les ignominies, les bassesses, pour imposer son nombril essentiel à sa gloire versaillaise.
Gaspard Gantzer donc – à ne pas confondre avec l’admirable Gaspard Glanz dont tout le sépare : veulerie contre courage, carrière contre conviction, compromissions contre intégrité – commença mal, donc socialiste. Travailla pour Royal, Fabius, DSK, autant dire le CV idéal du parfait renégat répugnant, fut le brillant communicant hyper compétent de Mollande : une pointure, un cador, à qui il recommanda avec insistance son camarade de promotion d’ENA et d’arrogance Macron.
Outre son génie de la communication hollandaise, ce résidu de cabinet (ministériel), se fit remarquer par sa propension à mépriser tout ce qui n’était pas lui, dans le doux parfum putride de son air suffisant du temps :
Fort de son immense notoriété, dans une stratégie à peine téléphonée, il fut chargé aux municipales à Paris, de jouer les rabatteurs pour son collègue de mépris Elyséen, fit semblant d’un peu critiquer sur les bords, de la parlote jurée crachée qui n’engage à rien
puis lâcha au milieu du gué ses colistiers pour apporter sur un plateau d’argent son colossal 1% de popularité aussi parisien qu’hypothétique dont 0,8% avait déjà filé ailleurs.
«C’est une décision qu’il a pris en solitaire. Nous lui avons tous demandé une réunion pour en discuter, il n’a pas donné suite. Il n’a pas eu le courage».
Une poignée de voix sait on jamais ça peut toujours servir.
Ainsi le gars Gaspard eut pu avec un certain aplomb se contenter de trahir ses amis
«J’imagine que ma décision fera débat entre nous, que certains ne seront pas d’accord avec moi, que vous pourrez même m’en vouloir. Cela m’attristera bien sûr, car je vous apprécie tous personnellement mais je me dois de l’assumer, car il ne s’agit pas de moi mais de l’avenir de notre ville».
Mais en plus se croit il obligé de nous refourguer ses pseudos états d’âme (et ta soeur) et ses fluctuantes convictions de camelot à nous la jouer Jean Moulin, offrant son corps à la science politicarde, sacrifiant sa liste ras la touffe pour sauver in extremis la capitale du péril Hidalgo (dont je me fous vu que je vote mon poteau Dhorasoo ). Car ce spécimen d’inutilité boursouflée et narcissique se sent forcément, porteur d’une mission divine, et pour rester modeste, élu par les dieux des urnes :
«Si je ne suis pas élu en 2020, je me représenterai en 2026, 2032 et même en 2038»,
«Je suis au début d’un parcours politique dans lequel je veux être maire de Paris»
Ce qui est toujours possible, tant son parcours calamiteux de petit merdeux ambitieux et gélatineux, de racaille pliée dans la soie, prêt à s’offrir au plus riche, au plus pourri, au plus fumier, que même la teub de Griveaux fait envie à côté, colle si bien à la médiocrité de notre époque.
Gaspard Gantzer n’étant donc personne, n’excluons pas qu’il ait une destinée. Cet authentique rien, que l’on ne croise surement pas dans les gares mais plus surement dans les salons VIP des aéroports, a le profil type du vendu d’avance, acheté en viager, du parasite bon à rien prêt à tout.
Anecdotique et dérisoire me direz vous ? Que non ! C’est de cette sale engeance dont crève ce foutu pays, de ce syndrome De Rugy, Valls, Dussopt…et prochainement Jadot…(dont la dame Saporta avant de rallier Villani roucoulait déjà sur la liste gaspardienne) le déshonneur à la boutonnière et le maroquin collé au cul.
Que ma môme, que j’aime inconditionnellement, me ramène un jour ce genre de tête à claque à la maison et malgré mon incommensurable tendresse, je la déshérite illico.

Mais vu son pédigrée et ses déjà fréquentations, c’est pas prêt d’arriver.

rue-affre

Aucun commentaire: