La résolution, votée mardi, dénonce d’une part les "excavations, tunnels
travaux et projets illégaux de l’occupant à Jérusalem", qui "altèrent
le caractère et le statut de la Ville Sainte", et d’autre part le blocus
de Gaza, comme "les opérations militaires menées par Israël à
l’intérieur comme autour de cette enclave".
Malgré les hurlements israéliens et toutes sortes de chantages
habituels, l’UNESCO dont un premier vote avait défrayé la chronique en
octobre 2016, a voté une seconde résolution dans le même sens ce mardi.
Résolution votée par 22 pays, contre 10 votant contre, et 23 s’abstenant.
Elle exige que toutes les excavations, sous prétexte de fouilles
soi-disant archéologiques ou autres, entreprises en violation du droit
international par la puissance occupantes, soient déclarées "nulles et
non avenues" et que "Jérusalem revienne à son statut de ville des trois
religions monothéistes : l’islam, le judaïsme et la chrétienté."
En ce qui concerne Gaza, la résolution demande la levée du blocus de
Gaza, qui dure depuis 10 ans, et l’arrêt des opérations militaires
israéliennes à l’intérieur de la bande de Gaza, comme dans ses eaux
territoriales.
Source : Agences de presse
CAPJPO-EuroPalestine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire