Pierrick Tillet
Depuis la révélation de la “bite à Griveaux” sur Internet, c’est un
nouveau tollé de la bien-pensance mainstream contre les réseaux sociaux
forcément “anonymes” et pervers.
Problème : à chaque fois que
l’intelligentsia et les médias de propagande sont acculés, ils couinent
qu’ils veulent museler les réseaux sociaux… et n’y sont jamais parvenus !
Quinze ans que leur comédie dure. Le 18 octobre 2005, le tout neuf
blogueur que j’étais alors écrivait son deuxième billet de yetiblog
intitulé “Début de panique dans le microcosme médiatique ».
Même couinements merdiques et dépassés des has-been mainstream de
l’époque contre la Toile, mêmes menaces de censure. Et même
contre-arguments sarcastiques pour les démonter.
Qu’ont-ils réussi dans leur offensive contre les pirates d’Internet
en quinze ans ? Hadopi ? Laissez-nous pisser de rire ! Plus grave pour
eux, les réseaux sociaux sont irrésistiblement montés en puissance. Et
la vérité est qu’ils ne contrôlent plus rien. Leurs interdictions ? Un
peu comme les interdictions lancées par les préfets contre les
manifestations Gilets jaunes : du pipi de chat.
Renversez-les, débordez-les, submergez-les !
En face, ils n’y connaissent rien et disent des conneries grosses comme eux.
L’anonymat sur Twitter ? Allons donc, les seuls anonymes qu’on y
rencontre sont des trolls bêtes comme leurs pieds (parmi lesquels nombre
de macroniens). Les vrais influenceurs que j’y connaisse signent tous
de leurs vrais noms : Didier Maïsto, Jérôme Rodrigues, Juan Branco,
Gérard Miller, François Ruffin, Bruno Gaccio…. D’ailleurs, remarquez que
tous les faux-culs du camp d’en face, si critiques contre les réseaux
sociaux “zanonymes”, se sentent tous obligés d’y avoir eux aussi un
compte : Trump, Macron…
Mes amis un peu paranos, vous qui poussez des cris d’orfraies
indignés après la énième offensive mainstream contre les réseaux
subversifs de la Toile...
... s’il vous plaît, reprenez vos esprits. N’ayez
pas peur de leurs menaces. Ils sont morts. Cognez du plus fort que vous
pouvez. Renversez-les, débordez-les, submergez-les !

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire