Pierrick Tillet
D’évidence, la campagne de vaccination patine.
Environ 60% de primo-vaccinés mi-consentants mi-dociles, 30% de secondo-vaccinés et une bonne moitié du pays récalcitrante, quand ce n’est pas carrément hostile, tout particulièrement parmi les soignants (ce qui en dit long sur leur confiance dans les produits qu’on veut leur administrer).
Paniques en série
Alors, forcément, ça s’énerve dans le bunker du pouvoir et sur les médias de propagande.
La balle est dans le camp de la Résistance
Parler de fascisme à propos de ces réactions de bêtes blessées paraît cependant un peu excessif. Une vraie dictature va chercher les gens chez eux sans rien dire, pas en vociférant sur les ondes à l’avance, ce qui risque juste de radicaliser un peu plus la masse des hésitants et de permettre aux vrais résistants de rejoindre le maquis.
En réalité, les autorités dévoilent surtout leur impuissance et jouent gros en abattant sans doute une de leurs dernières cartes :
- incapables d’empêcher les manifestations malgré les interdictions préfectorales, les lois liberticides et les confinements à prétexte sanitaire ;
- incapables de sauver les apparences démocratiques avec une abstention de plus en plus écrasante à chaque élection et des gadins de plus en plus retentissants pour le pouvoir ;
- vont-elles parvenir à forcer la population à se faire empoisonner la vie avec le concours de Big Pharma ?
Rien n’est moins sûr. On arrive en tout cas au moment de vérité de l’effondrement systémique. Quitte ou double ? La poursuite de la corruption ou la victoire de la santé.
La balle est dans le camp de la Résistance.
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