Il est douteux que M. Hollande puisse désormais se promener dans une
rue de France sans se faire escorter par des cohortes de gorilles, tant
ce « président normal » a tout trahi :
• trahi la gauche en rampant devant le M.E.D.E.F. et en ponctionnant de mille façons les travailleurs,
• trahi la Nation en acceptant la tutelle vétilleuse de Berlin sur notre budget,
• trahi la République indivisible en annonçant le découpage de la France en 10 euro-Länder,
• trahi la laïcité en envoyant le petit réac Valls à la cérémonie de canonisation organisée par le Vatican,
•
trahi Jaurès et son combat pour la paix en poussant à la guerre et à
l’ingérence de la Syrie à l’Afrique en passant par l’Ukraine,
•
trahi tous les peuples d’Europe en engageant des négociations secrètes
sur le « Grand Marché transatlantique » qui donnera le coup de grâce au
produire en France, à l’ « exception culturelle » et à la langue
française.
Heureusement pour sa bonne petite santé, « Moi-président » peut encore faire des promenades digestives en étant très applaudi.
Mais pas en France, pour peu que ce mot garde encore le moindre sens à ses yeux.
En Allemagne, où il va prendre les dernières consignes d’Angela sur les contre-réformes exigées par « notre grand partenaire » pour briser les conquêtes du C.N.R..
Et maintenant, voilà le petit pyromane élyséen qui se balade en Géorgie et en Arménie, à des milliers de kilomètres de notre pays appauvri et précarisé. Histoire d’y souffler sur les braises antirusses et d’encourager l’antisoviétisme à retardement dans les ex-Républiques soviétique du Caucase ; histoire aussi de poursuivre, pour le compte de l’O.T.A.N. et de Washington, l’encerclement de cette Russie dont de Gaulle rappelait à Moscou, en 1966, qu’elle avait joué le rôle principal dans notre libération !
En Allemagne, où il va prendre les dernières consignes d’Angela sur les contre-réformes exigées par « notre grand partenaire » pour briser les conquêtes du C.N.R..
Et maintenant, voilà le petit pyromane élyséen qui se balade en Géorgie et en Arménie, à des milliers de kilomètres de notre pays appauvri et précarisé. Histoire d’y souffler sur les braises antirusses et d’encourager l’antisoviétisme à retardement dans les ex-Républiques soviétique du Caucase ; histoire aussi de poursuivre, pour le compte de l’O.T.A.N. et de Washington, l’encerclement de cette Russie dont de Gaulle rappelait à Moscou, en 1966, qu’elle avait joué le rôle principal dans notre libération !
À quand notre président « socialiste »,
grand pourfendeur permanent du FN, paradant place Maïdan pour s’y faire
ovationner par les provocateurs anticommunistes, russophobes,
antisémites et grossièrement belliqueux – en un mot les NAZIS – qui ont
renversé le pouvoir élu à Kiev pour le compte de l’Empire
transatlantique en plein Drang nach Osten ?
Après tout, quand on a trahi une fois, c’est si simple de continuer...
initiative-communiste.fr
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