Le 9 janvier 2011 Nicolas Demorand chroniqueur désinvolte de radio
publique puis privée puis publique puis privée…agressait verbalement
dans un interview Jean Luc Mélenchon jusqu’au clash. Le 13 février 2014, il était poussé à la démission
de la direction de Libération par ses salariés ne supportant plus son
autoritarisme et son incompétence. Il redevenait simple chroniqueur de
radio publique puis privée puis publique puis privée…
Le 8 janvier 2013 en direct à la télévision devant la France entière
le ministre greffeur de cheveux Jérôme Cahuzac balançait à Jean Luc
Melenchon qu’il était un homme seul. Quelques mois plus tard le 10 avril de la même année, Cahuzac pestiféré, au bord du suicide, dormait dans sa voiture dans un total dénuement, abandonné de tous.
Le 5 mai 2014, Natalie Nougayrède, directrice du journal de révérence le Monde, signait un éditorial au vitriol contre Jean Luc Melenchon. Quelques jours plus tard, le 14 mai, elle quittait son poste, sous la pression de sa rédaction exaspérée par ses comportements hautains et sa ligne droitière.
Etrange malédiction qui s’abat sur les ennemis du leader du PG, qui
frappe tour à tour dénigreurs, manipulateurs, désinformateurs et autres chiens de garde, soudain rattrapés par quelque sortilège.
Ainsi déjà pouvons-nous trembler pour le renégat libéral libertaire Bové faisant dans l’amalgame Melenchon = Lepen
d’une folle originalité populiste ce 17 mai en une de Libé. Ce journal
militant socio libéral et anti-melenchonien, comme par fatalité, en
faillite.
Ami journaliste d’intox, du cadre circonscrit et de la doxa Tina, chers Alemagna,
Quatremer, Barbier…pour échapper au maléfice et te protéger par quelque
grigris ou talisaman, je ne saurais trop te conseiller cette amulette
aux pouvoirs magiques éloignant le mauvais œil à condition de l’introduire le dimanche 25 mai dans l’urne consacrée.
Je dis ça je dis rien, c’est juste que je ne voudrais pas qu’il t’arrive une bricole malfaisante.
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